"Consolez, consolez mon peuple", dit le Seigneur (Isaïe). Cet appel, s’il retentit en nos cœurs, est — avant tout — le cri du cœur de notre Dieu. Nous avons soif de consoler, besoin aussi de l’être, mais savons-nous nous tourner vers le Dieu de toute consolation, vers Celui, dont la compassion et la tendresse ne demandent pas mieux que de se répandre dans le cœur de tout homme pour le réconforter, l’apaiser, lui redonner vie. Ce traité nous donne d’approcher, d’abord à travers la Bible, cette consolation divine. Puisse l’Esprit consolateur visiter nos cœurs, et déployer en eux cette capacité à répandre la Consolation qui nous vient de Dieu.