« Douce est l'amnésie, quand elle nous donne le courage des premiers combats
Douce est la perte, lorsqu'on sait que l'on ne perd pas.

Le visage ensanglanté, le souffle haletant,
Le champ de bataille à peine silencieux
Soleil qui darde dans les chênes endurants
L'aurore devient promesse, un message précieux.

Si nous tenons parole, le jour reviendra
Alors courage dans la bataille et sans flancher
Tenons bon, tuons les scélérats
Car une autre mélodie, je souhaite écouter. »


Quand nous nous réapproprions des symboles universels à titre individuel, nous les enrichissons de nos expériences personnelles, qui serviront le collectif plus tard. Chacun est libre de les réinterpréter, de les remodeler et de les présenter au monde. Avec de la chance, vos créatures personnelles trouveront un écho chez les autres. Jusqu'à ce que les lecteurs les transforment à leur tour...


Ayant grandi dans le sud de la France, Nicolas Einrohn est très tôt influencé par les principes de l'éducation populaire et du développement durable. Curieux de tout et voyageur dans l'âme, sa soif de découverte est à la mesure des merveilles qui nous entourent. Il estime faire partie de sa génération en étant un « spécialiste du touche-à-tout ». Il aime danser et, selon lui, la poésie et la danse partagent un rythme, dans lequel il aime vivre et travailler.