Le pays minier où il est né en 1930, avec ses crassiers, ses chevalements, ses cheminées d’usine, et aussi sa montagne et ses torrents, ne porte pas à l’indifférence... Peut-être est-ce pour cela que Christian Terril écrit, parce que devant toutes choses, il n’a jamais su rester froid. Il écrit parce qu’il aime et pour ceux qu’il aime. Il s’est trouvé parfois que le cœur des gens aimés ne battait pas au même rythme que le sien. Son effort fut, afin de rétablir cette harmonie et de gagner toujours plus de chair vive à cette quête immense de la liberté, de la justice et du bonheur que sont parallèlement, selon lui, christianisme et communisme.