Dans la grande tradition des écrivains américains d’horreur les plus brillants du moment, tels Stephen King et Graham Masterton, Bob Randall nous entraîne dans une dimension d’angoisse sans nom. L’Appel de l’au-delà, c’est celui que reçoit un jour Susan Reed, jeune artiste new-yorkaise, et mère de famille sans histoires. Rien dans sa vie tranquille, bien ordonnée, ne la prédispose à être choisie par la chose mystérieuse qui commence à l’accabler de coups de téléphone. Une simple sonnerie marque le début de son calvaire : ensuite, autour d’elle, tout va se dérégler, son existence bascule dans l’horreur la plus totale. Le téléphone sonne pour Susan, partout, sans relâche. Nulle part elle n’est à l’abri de ce vide, de ce néant terrifiant qu’elle entend à l’autre bout du fil. Comment Susan va-t-elle réussir à persuader son entourage de la vérité de ce cauchemar indicible ? La panique l’envahit au fur et à mesure qu’elle découvre que personne ne la croit. Face à ce mur d’incompréhension, elle se réfugie dans ses souvenirs, cherche des appuis hors de la réalité. Mais peut-être est-ce déjà trop tard... Car, autour de Susan, les gens se mettent à mourir dans des circonstances atroces. La puissance ténébreuse qui contrôle ces appels, a décidé de porter le coup de grâce à la jeune femme ! Quelle sera l’issue de cette lutte fatale et sans rémission ?