La vallée de la Seybouse. — Un chemin de fer de montagne. — Ruines romaines. — Les marbres de Schemtou. — L’Oued-Medjerdah et la plaine de Dakla. — Prospérité passée, espérances d’avenir. — La viticulture en Tunisie. — Le domaine de Schuiggui. — L’aqueduc d’Hadrien. — La Manouba. — Arrivée à Tunis.

Il y a deux manières de se rendre à Tunis. On peut y aller directement de Marseille par les paquebots de la Compagnie transatlantique, qui font le service trois fois par semaine et conduisent en trente-six heures à la Goulette ; on peut aussi y venir d’Algérie, depuis l’ouverture, en 1884, du chemin de fer de Souk-Ahras à Ghardimaou, tronçon qui, comme un trait d’union entre nos deux possessions transméditerranéennes, relie le réseau tunisien au réseau algérien de la Compagnie Bône-Guelma.

Fruit d’une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIX^e siècle.