Une star du cinéma meurt sur les marches du palais du festival de Cannes sous les yeux effarés de millions de personnes. Un seul homme met en doute la thèse de l’accident officiellement retenue. Jeune paparazzi italien, il se lance alors dans le reportage de sa vie, ...
Une star du cinéma meurt sur les marches du palais du festival de Cannes sous les yeux effarés de millions de personnes. Un seul homme met en doute la thèse de l’accident officiellement retenue. Jeune paparazzi italien, il se lance alors dans le reportage de sa vie, un reportage qui le mènera au bout de son monde superficiel et qui fera basculer ses certitudes jusqu’à donner un sens profond à son existence. Son enquête lui fera surtout découvrir de manière intime le peuple birman...
Xavier Pivano nous propose un long périple à travers la Birmanie à la rencontre de ses richesses, de ses légendes, de ses contradictions aussi... et avant tout de ses habitants.
Xavier Pivano obtient son diplôme d'ingénieur en informatique à Grenoble et exerce son métier dans différentes sociétés, à Paris d'abord, puis à Aix-en-Provence.
Xavier Pivano peut être qualifié d'écrivain voyageur. Pour lui, ni l'écriture, ni le voyage ne sont le prétexte de l'autre : tout est voyage. L'écriture en fait partie. Elle prolonge le périple. Elle l'accomplit. Son expédition en Amazonie donne Le Temps d'un voyage, ses pérégrinations asiatiques, Les Fils du vent et Le Fruit du dragon. Son séjour aux îles Galápagos sur les traces géographiques et philosophiques de Darwin, l'amène à écrire La Pluie de corail. Et sa rencontre avec l'Inde du Rajasthan lui inspire Les Amants de pierre. Ayant longtemps habité Marseille, il rend hommage à cette ville, qui a inspiré tant de polars, en produisant Seuls les morts dorment le jour.
Un autre volet de son travail concerne ses romans écrits à quatre mains avec Xavier Gil. De cette première collaboration nait Les Perles grises, en 2005, qui débute le "Cycle des Derko". Deux autres aventures de leur héros commun suivent peu après : Les Demoiselles des nuages et Le Jeu du nain. Parallèlement à cela, les deux coauteurs écrivent Chair amie, qui donne lieu à un contrat d'adaptation cinématographique, et Le Lac du serpent, un thriller psychologique.
Pour l'instant Xavier Pivano continue sa quête en parcourant l'Amérique Centrale, d'où il reviendra avec une nouvelle histoire et qui, comme tout le reste de sa production romanesque, sera assurément marquée de cette envie de voir, d'éprouver et de dire l'ailleurs...
Xavier Pivano was born in Lyon on June, 19th, 1957. He got his master degree in computer engineering in Grenoble , and has worked in different companies in Paris, first, then in Aix en Provence.
Xavier Pivano can be called a travel writer. For him neither writing nor travelling can be used as an excuse, because voyage is any moment and any place, and writing is part of it. It follows up trips. It fulfils them.
After being to Amazon, he wrote : « Le temps d’un Voyage » ; after Asian trips : « Sons of the wind » and : « Le Fruit du Dragon ». In Galapagos Islands , walking on Darwin’s local and philosophical steps, he decided to write : « La Pluie de Corail ». Rajasthan lead him to : « Les Amants de Pierre ».
As he lived in Marseilles for a long time, he decided to pay tribute to the city which inspired so many detective novels and composed : « Seuls les morts dorment le jour ».
Four-handed novels, written with Xavier Gil, are another part of his work. Both Xavier issued : « Les Perles Grises » in 2005, which was the first of « Derko’s cycle ». He appeared in two other adventures, later on : « Les Demoiselles des Nuages » and : « Le Jeu du Nain ».
In addition to that series, the co-authors wrote : « Chair amie », on which transfer of rights for film adaptation has been asked ; and : « Le Lac du Serpent », a psychological thriller.
So far, Xavier Pivano has continued his quest in travelling over Central America, where he’ll come from with a new fiction, which will be, as the whole of his novelistic work, strongly influenced by his wish to see, feel and tell all the « elsewhere ».