Native de la Région parisienne, l’auteur, après des études secondaires au Lycée de jeunes filles de Saint-Germain-en-Laye, et des études supérieures à la Sorbonne, a fait carrière dans l’enseignement de l’anglais, dont quinze ans en Tunisie. L’action de ce second roman, en partie autobiographique, se situe entièrement en Afrique du Nord, en Algérie et en Tunisie. L’héroïne, séparée de son mari qu’elle aime beaucoup, pour des raisons de situation, vient le rejoindre aux vacances de Pâques. Elle est complètement effondrée lorsqu’elle apprend, par la visite d’une femme de basse classe, qu’il va être père. Cet enfant qui va naître — l’enfant de son mari — doit être élevé dans un foyer normal. Elle accepte alors le divorce. Elle repart chez elle, en Tunisie, à la fin des vacances. Elle croit que tout est perdu pour elle, mais elle est finalement sauvée par son métier de professeur, qui la passionne. Même dans les situations les plus pénibles, n’y a-t-il pas toujours quelque chose à quoi se raccrocher ?