L’auteur a axé ses réflexions sur les religions en face de la science, en mettant en lumière - principalement - le message transcendantal qui passe entre la divinité et l’être humain, et dont l’intervention est indispensable à la compréhension tant de l’univers, que de la nature humaine. Il cherche aussi à faire apparaître qu’il n’y a plus d’opposition irréductible, comme on l’a cru pendant très longtemps, entre les religions et les savants, qui comprennent depuis peu qu’il y a des limites au développement des connaissances scientifiques de l’être humain au voisinage des frontières de l’infiniment petit, comme de l’infiniment grand. L’auteur présente également une nouvelle conception métaphysique du temps, qui offre - selon lui - des aspects multiples et complémentaires, susceptibles d’éclairer le mystère de la mort et de la résurrection. Il donne encore une nouvelle approche pour la conciliation entre le libre arbitre et le déterminisme. Il étudie aussi les pouvoirs de l’esprit, qui sont bien mal connus, ainsi que certains phénomènes de prévision de l’avenir et d’action à distance. L’auteur propose finalement, pour favoriser un œcuménisme aussi étendu que possible, une voie qui rejoint les orientations formulées dans le Concile Vatican II bien interprété. Il espère que le message qu’il cherche à faire passer sera entendu des jeunes et des moins jeunes, au soir de leur vie.