« Si tu arrives à aimer tes ennemis, soit tu es un saint, soit tu es vraiment seul.

L’artiste qui tombe dans la routine tombe dans la ruine.

L’Univers du poète se bâtit comme un temple. On ne peut y entrer que si on y croit.

La nostalgie des arbres : ne pas pouvoir suivre les oiseaux dans leur vol.

Lorsqu’on dort sur ses lauriers on ne fait plus de rêves.

La loi d’Archimède appliquée à la politique : un politicien démagogue est poussé vers le haut avec une force égale à la bêtise de ses électeurs.

Si tu montres à tes amis leurs erreurs, ils t’apprendront ta solitude. »


Laissez-vous embarquer dans Une pincée de pensées – Antonismes, un recueil à mi-chemin entre philosophie et poésie.


Née à Bucarest d’un père d’origine grecque et d’une mère issue d’une famille italienne, Antonia Iliescu se rêve écrivaine depuis l’enfance. Aujourd’hui, son rêve s’est réalisé : elle signe des recueils de poèmes, de nouvelles, mais également des essais et romans. La musique et les sciences ont aussi une place privilégiée dans sa vie : elle écrit ses propres chansons, joue de la guitare en parallèle de son métier de chimiste-chercheuse et de professeure de sciences. Sa devise : « Un cerveau qui cogite et un cœur pour aimer ».