Un poker à Lascaux
décembre 2012
« Chaque fois que Normand de Bellefeuille publie, on se demande quelle direction il va prendre. Chaque fois, il réussit immanquablement à nous surprendre. Son Poker à Lascaux est une petite merveille. »Danielle Laurin, Le Devoir« On est ébloui par la plume de l'auteur. Par sa remarquable dextérité. Sa façon toute particulière d'être léger et grave en même temps, tendre et moqueur à la foi. Son art du bluff. »Danielle Laurin, Le Devoir« (...) Normand de Bellefeuille reste au plus près de l'émotion, nous livrant, bien que ses souvenirs aient été passés à la moulinette de la fiction, l'un de ses textes les plus personnels et les plus émouvants. »Tristan Malavoy-Racine, Journal Voir« Un poker à Lascaux relève autant du touchant devoir de mémoire que de la réjouissante chronique familiale, de la fascinante réflexion sur l'Histoire que de la pertinente quête de sens du passé face au présent, et vice-versa. »Valérie Lessard, Le Droit« Fort bien écrit, rythmé et prenant. »Paul Jacques, Magazine - Le Clap« (...) un humour formidablement efficace, mais c'est aussi très touchant (...). La finale de l'histoire est vraiment très très forte. (...) Un excellent roman. »Andrée Poulin, Radio-Canada - Divines Tentations (Ottawa/Gatineau)« Avec élégance et originalité, Normand de Bellefeuille tisse à même l'intrigue le fil conducteur du roman (...). »Andrée Poulin, Radio-Canada - Divines Tentations (Ottawa/Gatineau)« Avec son brio habituel, Normand de Bellefeuille a su raconter une histoire où se côtoient de belle façon finesse, humour et tendresse. »Donald Alarie, CFNJ 99,1 FM - Une histoire à l'oreille« (...) à l'instar de Gabrielle, Normand de Bellefeuille bluffe, lui aussi, déplace la ligne séparant la réalité de la fiction au gré des cartes qu'il distribue, des événements qu'il relate avec une savoureuse touche d'humour et un soin délicat à respecter l'intimité et la mémoire de ses personnages. »Valérie Lessard, Le Droit« On se laisse prendre à son jeu, souriant des extravagances de l'une, s'émouvant des dernières volontés de l'autre. C'est là que réside la plus grande qualité de ce bluff pour le moins convaincant. »Valérie Lessard, Le Droit« C'est très agréable à lire. »Marie-Christine Blais, Six dans la cité« C'est une fois lue que l'œuvre, fort émouvante, se pare de toute sa splendeur. »Paul Proulx, Journal Voir« (...) avec une syntaxe magnifiquement maîtrisée, (l'auteur) a concocté un roman populaire non moins magnifique avec « sa scène de cul », à qui il a donné ses lettres de noblesse (...) »Paul Proulx, Journal Voir« Une lecture rafraîchissante. »Linda Newman, CHOD 92,1 FM - La communauté en direct