Ma vie ne sait pas nager
avril 2013
« Ce très beau roman d'Élaine Turgeon aborde le thème du suicide de plein front, par le difficile chemin qui y conduit et qu'il laisse dans son sillage, le chemin de la souffrance, immense, indicible, dans laquelle certains choisissent de se noyer et d'autres d'apprendre à nager. »Isabelle L'Italien-Savard, Québec français« Ce pourrait être une histoire triste. Mais c'est une histoire très belle qui nous laisse sur une note d'espoir. »Sonia Sarfati, Entre les lignes« Les adolescents (…) vont découvrir une romancière sensible et grave qui, dans Ma vie ne sait pas nager, aborde avec tact un sujet auquel ils sont sensibles : le suicide. »Sonia Sarfati, La Presse« En guise d'entrée en matière, une couverture signée Stéphane Poulin - qui plonge le lecteur dans l'atmosphère du roman, avant même qu'il n'ait ouvert le livre. »Sonia Sarfati, La Presse« (…) œuvre unique traitant de détresse et d'espoir qui s'adresse en particulier à tous ces jeunes qui ont déjà voulu en finir avec la vie. »Simon Letendre, Courrier Ahuntsic« (…) elle démontre avec justesse et simplicité qu'il existe une vie après la mort, c'est-à-dire que la dépression n'est pas un gouffre sans fond et qu'il est toujours possible de sortir la tête hors de l'eau et de respirer librement. »Simon Letendre, Courrier Ahuntsic« Une belle poésie, allant du journal intime du mal de vivre de Geneviève au dialogue intérieur des proches. Simple et percutant. »Martin Thibault, Full fille« Une histoire émouvante qui apporte un réconfort à ceux qui ont vécu la perte d'un être cher. »Danny Saunders, Radio Ville-Marie - Temps libre« Tout ado devrait lire cette œuvre carrément géniale (…) d'une femme qui a la plume juste et douce, qui peut finir par faire des miracles. »Claudia Larochelle, Le Journal de Montréal« Ma vie ne sait pas nager, titre-choc pour cet ouvrage d'Élaine Turgeon, recèle une œuvre sensible et salutaire, écrite avec sobriété. »Florence Meney, Radio-Canada (Internet)« Histoire bouleversante. Enfin quelqu'un qui n'a pas peur du mot suicide ! »Marie-Noëlle Gagnon, CFEL FM (Québec)« Bravo pour la publication de Ma vie ne sait pas nager ! Ce livre mérite d'être connu et lu par tous les ados et adultes du monde pour qu'on comprenne le suicide un peu plus ! Une façon directe et simple d'aborder le sujet, bravo à l'auteure ! (…) Félicitations!Marie-Noëlle Gagnon, CFEL FM (Québec)« Un roman écrit d'une plume franche. Pour raconter la désespérance, Élaine Turgeon a choisi des mots clairs, des contextes précis et des idées fortes ! »Hélène Cantin, Radio-Canada - Sonnez les matines (radio, Gaspésie, Les Îles)« Une lecture bouleversante pour les 14 ans et plus, qui leur permet de réaliser que les « idées noires » passent, et qu'on finit toujours par guérir. »Louise Robitaille, Le Lundi« J'ai beaucoup aimé ce livre… très touchant, avec des émotions à fleur de peau. Pour tous ceux qui ne trouvent pas toujours les mots pour demander de l'aide. »Julie Roy, CHOE FM (Matane)« Quasiment un « must » pour nos jeunes ados et préados… »Florence Meney, Radio-Canada (Internet)« Les mots d'Élaine Turgeon, intenses et vrais, (…) décrivent brillamment les réalités fragiles du deuil, de la dépression et du suicide, et laissent passer la lumière dans l'éclat des plus petites choses; un regard, un geste, une parole. »Annie Mercier, Le Libraire, Internet« Un livre très touchant, qui aborde le suicide et la dépression avec justesse et finesse. L'illustration de Stéphane Poulin est remarquable et est empreinte de volupté. Madame Turgeon aborde ce problème avec une grande dignité. À lire absolument ! »Linda Newman, CHOD FM - Première heure, radio (Cornwall)« Le titre de son roman Ma vie ne sait pas nager, emprunte les mots de la chanson Aquanaute d'Ariane Moffat. L'auteure en a perçu toute la sensibilité, qualité tout à fait appropriée pour aborder un sujet aussi délicat. »Christiane Laforge, Progrès dimanche (Chicoutimi)« Élaine Turgeon cède la parole à son personnage, donnant ainsi plus de force à son propos. Pas question de juger, de commenter, encore moins de tenter de résoudre le problème. Elle observe, sachant que la vie génère ses propres solutions. »Christiane Laforge, Progrès dimanche (Chicoutimi)« L'essentiel du message de l'auteure repose sur deux certitudes : d'abord, l'importance de se confier à d'autres, de partager ses émotions et aussi de s'accrocher assez longtemps pour laisser à la vie le temps de renaître, de comprendre. »Christiane Laforge, Progrès dimanche (Chicoutimi)« La magnifique page couverture de Stéphane Poulin ondule et accompagne bien ce titre d'un roman qu'on devine sombre. (…).Ginette Guindon, Lurelu« (…) la lecture est bouleversante de vérité. »Ginette Guindon, Lurelu« Author Élaine Turgeon confides in her preamble that she was herself obsessed with death and suicidal at age of 15, which gives her main caracter’s voice a certain authenticity. The author hopes the book will help troubled young people « chose to live an to love living . » It may well do this, but above all, it is a gripping story told in a style that is compelling and powerful. »Michelle Lalonde, The Gazette