La Machine à orgueil
avril 2013
« Très beau roman » Danielle Perreault, 103,5 FM « Ce n'est pas un livre morbide. Au contraire, c'est vif comme un grand froid. Mais la rage qui le traverse nous réchauffe. La langue reste drue. La musique tripale, triviale, tribale. Ça va vite comme une flèche dans la nuit. Ce serait dommage de ne voir dans cette « machine à orgueil » qu'une simple réflexion sur le suicide. Sa musique violente, ses reflets bleutés, ses danses langagières endiablées en font une œuvre artistique.»Dany Laferrière, ICI Montréal« Une langue risquant de déranger les lecteurs attachés à leur petit confort et qui, dans La Machine à orgueil, ne manque pas de saluer quelques-uns de ses inspirateurs (VLB, Plume, Mistral...). Frayant avec l'oralité, l'écriture romanesque de Vézina donne ainsi lieu à certains passages hachés comme les jets d'une pensée vive et s'offrant à lire à la manière de vers libres. La facture trash du livre, revendiquée par l'écrivain et à laquelle cette langue participe, n'a étonnamment rien de complaisant (on retrouve d'ailleurs peu de violence ou de sexe chez Vézina), le tout fonctionnant en parfaite adéquation avec l'errance du narrateur.»Éric Paquin, Voir« Quel beau titre. Et quel grand roman. »Danielle Laurin, Le Devoir« … il y a dans La Machine à orgueil, une langue. Une langue, d'abord et avant tout. Une langue qui ne craint pas la noirceur, mais tellement vivante qu'elle défie la mort. Une langue qui s'incruste, ne nous laisse aucun répit, ne nous lâche plus. On est ici dans l'oralité. La plus pure, la plus dure, la plus crue. L'impression que c'est écrit à la hache, parfois. Les mots, les phrases claquent, revolent en éclats. On est dans la langue parlée, oui. Mais réinventée. Rythmée, scandée. On est dans la langue de Michel Vézina, où se glissent des illuminations poétiques qui nous laissent bouche bée. »Danielle Laurin, Le Devoir« Michel Vézina, qui a ses entrées à Rimouski, raconte ses histoires avec une plume vivante et drôle, coléreuse et grivoise à l'occasion. Enfin, ça mérite d'être signalé, esthétiquement, ce livre est fort plaisant. »Mario Bélanger, UQAR« Évocation d'une époque : celle des années quatre-vingt, des nuits de l'underground, du monde plein de bruits et de fureur d'une jeunesse paumée, La Machine à orgueil est écrit dans une langue irrésistible, mélange de tendresse et de violence, de langue parlée et de poésie, qui coule de source, chante et nous transporte.»Marie-Claude Fortin, magazine Entre les lignes« Roman efficace, personnages attachants, original, point de vue masculin, j'ai vraiment aimé ça ! »Caroline Morin, RCI viva - Tam-Tam Canada« J'ai bien aimé le roman, ça m'a rappelé l'urgence de Kérouac, mais aussi l'univers, par moments, de Louis Hamelin.»Bruce Gervais, SRC - Le Radio-Magasine (Abitibi-Témiscamingue)« Avec ce roman, Michel Vézina trace une géographie du deuil. Écrit dans une langue urbaine et rafraîchissante, La Machine à orgueil est fort agréable à lire et s'avère un véritable éloge à la vie et à l'amitié. Un bijou ! »Jean-Sébastien Ménard - www.terranovamagazine.ca