Le Silence de Mozart
mai 2013
« À travers la trame dramatique, s’appuyant sur une solide documentation et multipliant les points de vue narratifs, la romancière fait revivre sous nos yeux la vie quotidienne de l’orphelinat d’Huberdeau, rythmée par les excursions dans la nature, l’approfondissement de la foi et les chants tirés des cahiers de La Bonne Chanson, imprégnés des valeurs chrétiennes et familiales des Canadiens français de l’époque. »Suzanne Giguère, Le Devoir« C’est une histoire d’hommes, de pères et de fils principalement, qu’elle nous offre ici, dans une histoire qui se déroule dans le Québec des années 1930, racontée avec toute la tendresse et le respect pour son prochain qui caractérisent les écrits de Vania Jimenez. Un roman profond et touchant. »Bulletin, Association des médecins de langue française du Canada« Le Silence de Mozart est un roman profond et touchant, tendre et respectueux, voire lumineux malgré le thème douloureux qu’il aborde. »Suzanne Giguère, Le Devoir« Vania Jimenez nous sert ici un récit prenant qui ferait certainement un bon film ou une bonne série télévisée. En attendant, on lira son roman d'une raite et on se laissera toucher par la profondeur de son histoire et de ses personnages. »François Lavallée, Revue Nuit Blanche« Le Silence de Mozart est un roman profond et touchant, tendre et respectueux, voire lumineux malgré le thème douloureux qu'il aborde. »Suzanne Giguère, Le Devoir« Une histoire déchirante qui démontre la réalité des années '30 au Québec ! »Denis Lévesque, CHOM - Le Sentier du bonheur (Matane)« Souvenir, mystère, rupture, réconciliation et amour sont les thèmes centraux de ce roman, dans lequel on entre avec grand intérêt. »Yves Guillet, Le Libraire« À l'intéresssant lyrisme et aux diffringents points de vue narratifs qui s'enchevêtrent habilement dans Le Silence de Mozart correspond une trame musicale, inspirée tant par l'opéra que par La Bonne Chanson, héritage transmis de père en fils, ainsi que par les frères aux orphelins. »Éric Paquin, Voir« Ce livre vibrant veut démêler les préjugés et la réalité entourant l'épisode tristement célèbre des orphelins de Duplessis. (…) Son roman restitue une « bouffée du parfum de l'époque…»Monique Roy, Châtelaine« (…) ce livre raconte avec beaucoup de sensibilité l'enfance marquée par la pauvreté et l'éducation au temps des congrégations religieuses. »Josiane Leclair, Femmes Québec