Les Larmes d'Adam
février 2013
« Robert Maltais raconte avec finesse et santé l’interpénétration de deux mondes. D’un côté, le miracle, inexplicable, exorbitant, anachronique; de l’autre, la raison raisonneuse, l’ambition mesurée, la modestie des certitudes. La réconciliation viendra-t-elle ? (…) En peu de pages les questions de fond se renouvellent. »Revue Nuit Blanche« Quelle connaissance de la psyché humaine, quelle compassion envers tous les êtres, quelle compréhension des chemins détournés de Dieu pour arriver à ses fins amoureuses, quelle intelligence pour bâtir une histoire à la fois touchante et crédible et – oui – quelle belle imagination ! (…) Une belle et humble leçon de « Kundalini » ! Rien d’autre ne nous en sépare, vraiment… que l’ignorance. Et avec ça, une fin magistrale ! »Uparathi Provencher, Planète Québec« (…) l'ensemble vaut la peine qu'on s'arrête, qu'on y pense; j'allais dire qu'on y médite. Le roman divertit, mais fait aussi réfléchir. Qui est l'homme ? D'où vient-il ? Où va t-il ? Et, surtout, pourquoi ? »Normand Caron, Infoculture.ca« Rien n’est plus agréable à lire qu’un roman qui se déploie autour d’une belle histoire bien racontée, avec des personnages solidement campés dans une intrigue où le vraisemblable et le magique cohabitent harmonieusement pour le plus grand plaisir du lectorat. Voilà précisément ce que l’auteur nous offre avec ce premier roman qui sort de l’ordinaire, se distingue et ce, à plus d’un titre. »Gilles Rhéaume, La Presse Québécoise« Robert Maltais s’est retiré dans un monastère français en 1999. De retour à Montréal, cet ancien comédien écrit Les Larmes d’Adam, un premier roman de facture moderne qui, fort de plusieurs images mythiques, comme celle de Caïn tuant Abel, explore les tourments de l’âme et du corps. »Le Libraire« Robert Maltais a écrit un roman sur la foi, la vraie. J’ai lu ce roman en souriant, en analysant, en découvrant un univers magique. Je me suis prise de passion pour les personnages que j’ai trouvé bons ou mesquins, manipulateurs ou divins. »Kathleen Wynd, Bibliothèque du Père-Ambroise (Centre-Sud)« En campant l’action dans une abbaye, l’auteur profite d’un espace littéraire fort intéressant. Il s’agit ici d’un habile jeu de perspectives qui permet de raconter la nature humaine et son exigeant besoin d’amour. »Hélène Cantin, Radio-Canada - Sonnez les matines (Gaspésie, Les Îles)« Il est plausible de penser que derrière les événements et les réflexions des personnes, l’auteur nous invite à être attentifs à la recherche personnelle de tout être humain. C’est un livre intéressant qui nous permet d’approfondir l’essentiel pour chacune et chacun de nous. »Daniel Gauvreau, Pastorale-Québec« Les thèmes qu'aborde l'auteur, thèmes de nature pour le moins profonde et complexe, sont traités ici avec beaucoup d'intelligence.»Céline Chabot, L'oie blanche (Montmagny)« (…) un beau roman imprégné de mythologie chrétienne, traçant un chemin fantasmatique entre le cynisme, le doute et l'illumination divine.»Voir-Mauricie