Mais les pleins pouvoirs sur une publication ne suffisent pas à ce maniaque du stylo. Durant les heures volées au sommeil, il note des impressions, ébauche des thèmes de romans, ajoute, rature, reprend, développe des chapitres. Avec La grande musique – B. Flamand du Seuil lui demande des remaniements, mais il est trop occupé – c’est un peu l’Été Meurtrier dans la haute vallée de la Durance ; La Maison du Jaguar pourrait s’intituler le cœur Mexico dès lors qu’une passion folle s’y prolonge au-delà de la mort. Peut-être, un jour, si la Providence lui en laisse le temps, réactualisera-t-il la Croisière Infâme ? Aurait-on envie de dire à ce débutant : – Pourquoi, viens-tu si tard ? Autant demander à Cousteau s’il compte raccrocher ; il est des questions qu’on ne pose pas à ceux qui ne regardent jamais l’heure.