Le Club ? Une usine à loisirs, des parcs à touristes, des bronzés trop musclés. C’est du moins comme ça que l’imaginait Nancy Richard. Et la proposition d’aller saboter un village ressemblait davantage à une bonne action qu’à un acte de terrorisme. La Mundia avait d’autres moyens encore de la persuader et Nancy s’était retrouvée sous contrat. Ça paraissait simple. Grâce à une série de mécanismes ingénieux, elle devait isoler le village mexicain de Playa Blanca au moment où il accueillait les journalistes de la presse internationale. Sept jours pour faire sauter un village. Avec toutes les armes. Surtout les plus déloyales. Pourquoi veut-on saboter le Club ? Et quand la machine casse, que se passe-t-il dans les coulisses du village ? Club à prendre est aussi la description d’une communauté fugitive et tendre, la relation d’une aventure personnelle et passionnelle, qui en font un roman d’humour et de suspense. Sous la forme d’un thriller, ce récit surprenant nous dévoile les véritables ressorts du Club.