Le courage c’est de choisir un métier et de le bien faire, c’est surmonter un violent chagrin du à un accident ou à la mort d’un parent aimé, c’est pour une enfant gravement malade d’obtenir la volonté et le moral suffisant pour guérir écrit Dominique, la fille de Mireille Boccara Cacoub. Sait-elle déjà qu’elle est atteinte de leucémie ? Elle en meurt, à l’âge de dix-sept ans, en laissant un journal : « Je ne veux pas qu’on m’oublie », paru aux éditions Julliard. Mireille Boccara Cacoub nous dit, aujourd’hui, la vie et la mort de Dominique, sa révolte, sa quête et sa longue remontée grâce au journal de sa fille. « Je ne t’oublie pas, Dominique » n’est pas la répétition de « Je ne veux pas qu’on m’oublie ». C’est son miroir. La réponse de Mireille à Dominique. De livre à livre, mère et fille reprennent au grand jour leur dialogue que la mort avait interrompu. Les droits d’auteur de « Je ne veux pas qu’on m’oublie » ont permis aux parents de Dominique de créer l’Association Dominique-Cacoub — A.D.C. —, qui apporte réconfort moral et aides matérielles aux malades atteints de leucémie et de maladies du sang. Les droits d’auteur de « Je ne t’oublie pas, Dominique » seront également versés à l’A.D.C., 94, rue de Sèvres, 75007 Paris.