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Résumé

1980, een nieuwe reeks verscheen in het weekblad Robbedoes. Éric Maltaite, de zoon van Will, was verantwoordelijk voor de tekeningen; Stephen Desberg, die al met zijn vader samenwerkte, was verantwoordelijk voor het scenario. De nieuwe reeks heette 421, met in de hoofdrol een geheim agent, en was een kind van haar tijd. De auteurs lieten zich sterk door de James Bond-saga inspireren. Licht, eigenzinnig en heel Brits, markeert ze de eerste stappen in de stripwereld van twee grote auteurs, die hun grafisch en verhalend talent vandaag al lang hebben bewezen.

Auteur

  • Stephen Desberg (auteur)

    Né à Bruxelles en 1954, Stephen Desberg a débuté dans la bande dessinée en écrivant, dès 1976, de courtes histoires complètes pour le magazine ‘Tintin' (Le Lombard). Ce n'est qu'en 1978 que ce disciple de Maurice Tillieux, le créateur de "Gil Jourdan" (‘Spirou'), entame une carrière de scénariste professionnel.À partir de 1980, pour l'hebdomadaire ‘Spirou‘ (Dupuis), il assure la continuité des aventures de Tif et Tondu, dessinées par Will, puis il crée successivement les personnages de 421, de Billy the Cat, de Mic Mac Adam et de Jimmy Tousseul.Après avoir publié plusieurs albums avec ces personnages, il s'associe avec le dessinateur Johan De Moor et les éditions Casterman pour imaginer "Gaspard de la nuit" (1987-1991) et, dans le mensuel ‘(À Suivre...)', les enquêtes de La Vache.Cette dernière série humoristique paraît désormais en albums sous le titre "Lait entier", dans la collection "Troisième degré" du Lombard, et y connaît de nouveaux rebondissements. Dans un registre plus adulte, et à nouveau associé à Will pour l'illustration, Stephen Desberg publie deux albums dans la collection "Aire libre" de Dupuis : "Le Jardin des désirs" (1989) et "La Vingt-Septième Lettre" (1990).Scénariste original et aux talents variés, Desberg passe avec aisance et inventivité d'un genre à un autre, des atmosphères fantastiques aux réalités qui interpellent, comme l'intolérance. En 1996, avec le dessinateur Bernard Vrancken, il exprime ainsi son antiracisme à travers "Le sang noir", une saga romanesque en quatre albums, éditée par Le Lombard. Bien que vivant en Belgique, Stephen Desberg est de nationalité américaine et, comme tous les fils de l'Oncle Sam, il est supposé déclarer ses revenus à l'IRS (Internal Revenue Service), l'administration fiscale des États-Unis...Nul mieux que lui n'était donc habilité à nous instruire sur le fonctionnement de cette institution. Scénariste de bandes dessinées, il en a tout logiquement fait le sujet original d'une série d'albums. Mis en images par Bernard Vrancken, les épisodes de ce thriller financier très actuel paraissent depuis 1999 sous le titre générique d'"IR$", dans la collection "Troisième vague" du Lombard.Les États-Unis sont encore présents dans d'autres de ses albums, comme "L'étoile du désert" (1996, Dargaud), un western crépusculaire, avec Enrico Marini, ou "Tosca" (2001-2003, Glénat), un portrait sans complaisance de l'évolution de la mafia américaine, avec Francis Vallès.Stephen Desberg est également passionné par les thèmes religieux. Il s'intéresse au monde mythologique des anges et des démons dans "Les immortels" (2001-2005, Glénat), avec Henri Reculé, et, avec Enrico Marini, aux énigmes des origines chrétiennes dans "Le Scorpion" (2000-2014, Dargaud), une saga autour d'un flamboyant héros de cape et d'épée dans la Rome du XVIIIe siècle, où s'affrontent moines guerriers et cardinaux à l'assaut d'un pouvoir totalitaire.À l'automne 2003, avec Daniel Koller, il lance "Mayam" (Dargaud), une série de fantasy théologique relatant les voyages d'un diplomate terrien ambitieux sur une planète aux mille et un cultes concurrents.Auteur prolifique, Desberg écrit les scénarios de nombreuses autres séries, notamment "Miss Octobre" (2012-2014, Le Lombard), "Sherman" (2011-2012, Le Lombard) ou encore "Sienna" (2008-2014, Bamboo). En 2014, il se lance dans l'écriture de la deuxième saison de "Black op" (Dargaud), une série dessinée par son ami Hugues Labiano.En 2015, il commence, avec Miguel Lalor, une nouvelle série, un polar noir, "Le rédempteur" (Dargaud).En 2016, il signe le retour de L'Etoile du Désert, avec Hugues Labiano comme partenaire.
  • Eric Maltaite (Illustré par)

    Né à Bruxelles le 23 février 1958, fils du grand Will, Eric Maltaite se trouve plongé dès l'enfance dans un univers centré sur la bande dessinée. Il voit quotidiennement son père penché sur ses planches de Tif et Tondu, et lui donnera parfois un petit coup de main au cours de ses années d'adolescence.Ses progrès sont rapides et c'est à TINTIN qu'il place ses premiers péchés de jeunesse en 1976 (Bidevision), tandis qu'il se lie d'amitié avec Stephen Desberg qui commence à assister Tillieux pour les scénarios de Tif et Tondu. Après un premier galop en commun sous la forme d'un récit complet dans SPIROU (Jules et Gil, en 1978), l'équipe Maltaite-Desberg se lance dans une série parodique plus ambitieuse mettant en scène la Famille Herodius, dont les membres traversent l'Histoire avec une méchanceté assez stupéfiante pour l'époque. Deux grands récits lui sont consacrés (Le Vol du Transgalaxie Express et Opération Chamboise, 1979), ainsi que quelques résurrections en histoires courtes par la suite.Eric est assurément influencé en ses débuts par l'humour débridé souvent pratiqué par les chouettes amis de la famille : Jijé, Franquin, Tillieux, Delporte, Peyo, Walthéry ou Macherot. Ses premières productions ont tout naturellement un style assez "willien", mais il s'en dégagera graduellement. Il aimerait explorer un domaine plus semi-réaliste où l'action primerait sur l'humour et Desberg n'est pas très à l'aise dans le registre comique.Ils changent donc leur fusil d'épaule et créent en 1980 l'agent spécial Jimmy Plant... qui se fera un nom sous son matricule 421 ! Après un démarrage plutôt humoristique où l'on retrouve une certaine satire de James Bond, la série alterne de manière originale des trames policières, d'espionnage ou de science-fiction. 421 vivra ainsi onze grandes aventures jusqu'en 1992 et permet au jeune dessinateur d'explorer d'autres voies graphiques, qui lui donneront le goût du changement régulier d'atmosphère et de style.Tandis que les vedettes de la génération antérieure se cherchaient plutôt un personnage stable auquel consacrer leur carrière, Eric Maltaite s'inscrit parmi les étoiles filantes de notre époque, d'innombrables dessinateurs doués et polymorphes qui apprécient plutôt les one-shots et mini-séries.Tandis que 421 commence à devenir une routine chez Dupuis, il publie Mono Jim (Le carrefour de Nâm-Pha) sur scénario de Denis Lapière dans L'ECHO DES SAVANES, puis en album chez Albin Michel en 1987. L'exemple de son père (converti sur le tard à la réalisation de planches en couleurs directes et sur des thèmes plus adultes pour la collection Aire Libre) l'incite à réaliser avec Desberg un ouvrage de la même veine (Carmen Lamour, P et T Productions, 1993). En 1999, il compose seul un album de la Robinsonne (La Naufragée) pour Albin Michel.Parallèlement, on le retrouve de temps à autre dans SPIROU pour divers cycles de récits complets, comme Nationale Zéro, sur scénario de Jean-Louis Janssens en 1995, mais, pris dans un mouvement pendulaire entre la BD pour adultes et celle pour tous publics, ainsi que par son goût pour les voyages et le farniente, il cherche encore sa voie en travaillant alternativement pour Albin Michel ( Les mille nuits de Schéhérazade, illustrations des contes les plus érotiques du célèbre récit arabe) et Glénat (Zambada, sur scénario d'Autheman, une mini-série d'action policière).

Auteur(s) : Stephen Desberg

Caractéristiques

Editeur : Standaard Uitgeverij

Auteur(s) : Stephen Desberg

Publication : 7 septembre 2022

Intérieur : Noir & blanc

Support(s) : Livre numérique eBook [ePub]

Contenu(s) : ePub

Protection(s) : Marquage social (ePub)

Taille(s) : 37,8 Mo (ePub)

Langue(s) : Néerlandais, flamand

Code(s) CLIL : 3772, 3779

EAN13 Livre numérique eBook [ePub] : 5420077175855

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