Mon éditeur : « Attention, la quatrième de couverture, c’est hyper important ! Elle doit retenir l’attention du lecteur et lui donner envie de lire le livre ! Déconnez pas avec ça, hein ! »
OK, OK. Alors je passe en mode séduction. Je m’imagine en compagnie du lecteur potentiel et je joue les faux décontractés. Genre intello torturé, nonchalamment appuyé contre un mur, sourire de charmeur et mains dans les poches.
Ce qu’il y a dans ce livre ? Oh, quelques histoires de fesses, beaucoup d’humour, de l’absurde, des personnages inattendus et par-ci par-là quelques élans de tendresse, insufflés délicatement dans les coeurs languissants des lecteurs esseulés (ça va épater, ça).
Comment ? Du théâtre ? Ouais, mais pas tout à fait quand même. C’est un amalgame de quelques genres scéniques. En fait, ça se lit comme un roman. Et c’est très visuel !
Surtout, ça parle beaucoup : de la vie, de la mort, de l’amour, de l’enfance... De tout ce qui fait notre quotidien. De tout ce qui le rend beau et meilleur.