Aujourd’hui atteint d’un cancer qui se généralise progressivement, Michel Banassat nous livre ce qu’il suppose être ses dernières réflexions dans cet essai sur la conscience et la mort. Il aborde ainsi l’hypothèse d’une existence, d’une vie post-mortem.


Ancien moine bouddhiste, fervent défenseur des droits de l’Homme et de la condition animale, Michel Banassat s’érige également comme une personne religieuse et spirituelle. Véritable pourfendeur de ceux qui ne respectent en aucune façon la morale universelle, il est l’auteur d’une Introduction à l’étude du bouddhisme, d’un ouvrage consacré à Avalokiteshvara, d’un Traité bouddhiste de la grande compassion, d’une Défense bouddhiste des droits et de la vie des animaux, d’un Traité bouddhiste sur la vie après la vie : À la lumière des sadgatikârikâ de Dhârmika Subhûti ainsi que d’un ouvrage sur le Chinatown parisien qui révèle son attachement profond et pour ainsi dire atavique au monde chinois.