Adieu, Betty Crocker
octobre 2012
« Livre-duvet à la tendresse contagieuse, Adieu, Betty Crocker est un roman intelligent et sensible. (…) Attachante Betty Crocker, sa bonne humeur naturelle nous laisse une impression de légèreté, comme si les mots du romancier « avaient été portés par des oiseaux ». (…) Dans son onzième roman, le romancier trace le portrait émouvant et profondément humain d’une simple ménagère. Promenant un regard à la fois curieux et compatissant sur son héroïne silencieuse, il s’écarte habilement du ton joyeux, moqueur et drôle qui caractérise tous ses livres, le temps d’une inflexion tendre et de quelques pincements au cœur. (…) Par petites touches, le romancier, conteur à l’imagination féconde, recompose la vie de la ménagère, accumule les souvenirs et les anecdotes souriantes. »Suzanne Giguère, Le Devoir« À travers l’histoire de tante Arlette, François Gravel donne à lire celle de toute une génération de femmes de devoir et aussi de passions, souvent moins soumises qu’il n’y paraissait et qui ont contribué à leur manière à la révolution culturelle du Québec de l’après-guerre. Un bon roman peut très bien s’accommoder d’une fresque socio-historique qui couvre une période dont on n’a pas tout dit encore. »Réginald Martel, La Presse« Adieu, Betty Crocker. Le titre est tellement sympathique que le nouveau roman du bon conteur d’histoires qu’est François Gravel devrait se lire comme on mange un brownie. »Jocelyne Lepage, La Presse« Ce qu’il fait, et il le fait merveilleusement bien, c’est de raconter de belles histoires dans une langue simple et irréprochable. »Marie-Claude Fortin, La Presse« Adieu, Betty Crocker contient tout ce qui a été apprécié jusqu’ici dans les romans précédents : un accès à l’intimité des personnages, un humour intelligent et tendre, une histoire de famille comme tant d’autres, l’amour, le couple, un regard sur une époque révolue, le rythme, le style épuré. (…) Par ce nouveau roman, François Gravel plaide une fois encore pour les petits plaisirs tranquilles et les petits bonheurs au quotidien. Il le fait d’ailleurs avec intelligence, simplicité, fantaisie et humour. (…) Nous touchons là le cœur du roman : quels enseignements peut-on tirer des gens simples et discrets que nous côtoyons la vie durant? Et surtout, pourquoi attendons-nous trop souvent que ces personnes partent pour prendre conscience de tout ce qu’elles pouvaient nous apporter? Les habitués de François Gravel comme les occasionnels de tous âges se retrouveront de façon agréable dans ce roman. »Benny Vigneault, Le Soleil« Truffé de petites réflexions savoureuses sur la vie, l’amour ou les tâches ménagères, cet Adieu, Betty Crocker est un récit extrêmement sympathique, drôle et déroutant. Une ode à la simplicité et à la beauté des petits gestes quotidiens, mené par une écriture limpide. Rafraîchissant. »France Tardif, site culturel de Radio-Canada« (…) ce 11e roman de François Gravel marie à la fois l’humour et les sujets plus sérieux, voire plus grave. »Michel Phaneuf, Le Canada français« François Gravel est un témoin perspicace et critique de la génération des baby-boomers et son œuvre en peint, de plus en plus, une fresque étonnante. Après 35 romans, tout public confondu, je ne me demande pas s’il est un auteur ou un écrivain : en polissant patiemment ses histoires, François Gravel, s’est installé parmi les grands écrivains québécois contemporains. »Jean-François Crépeau, Le Canada français« (…) François Gravel donne tout son écho à la grandeur du mystère de cette femme, pour qui vivre seule, entre les quatre murs de sa maison, se révèle finalement tout le contraire d’un emprisonnement. »Michel Vézina, Voir« Ce livre, en plus de nous faire sentir les odeurs de cette maison chaleureuse, redonne, enfin, à ces femmes qui ont pris la décision consciente de gérer la maison, leurs lettres de bonheur. »Michel Vézina, Ici« Dans Adieu, Betty Crocker, François Gravel poursuit sa douce chronique de la banlieue québécoise et, une fois de plus, fait surgir l’extraordinaire de l’ordinaire. »Hélène Simard, Le Libraire« Sans équivoque possible, Gravel signe ici le rendez-vous d’une génération. »Journal Métro« Ce roman permet à François Gravel de faire des réflexions sur la société moderne, sur son milieu de travail, sur les relations familiales en général. C’est bon comme du pain chaud, comme du Betty Crocker. (…) Un autre bon Gravel à se mettre sous la dent. »Jean Vigneault, Le Courrier de St-Hyacinthe« François Gravel possède l’art de raconter mais surtout l’art d’enjoliver les petites histoires quotidiennes et banales. On replonge dans de très bons souvenirs. »Linda Newman, CHOD« Cette plongée touchante et nostalgique dans une époque révolue est une des surprises les plus délicieuses de la saison. »Paul Jacques, Le Clap« Un 11e roman touchant qui s’attarde aux petits plaisirs. Ça sent les souvenirs d’enfance. Un délice! »Josée Bournival, Salut Bonjour Week-end« Excellent! Un vrai bijou. »Marie-Josée Demers, CHLM« Adieu, Betty Crocker est une histoire délectable, pleine d’humour et d’émotion. On ne peut qu’y ressentir le sentiment coupable qu’en négligeant les choses les plus simples qu'on en vient parfois à passer à côté de l’essentiel. Un texte captivant et émouvant. Un récit délectable, moelleux et croustillant comme les merveilleux carrés aux Rices Crispies de la tante Betty Crocker. »Normand Caron, Info-culture.ca« On lira ce roman attachant comme on feuillette un album de famille. Les lecteurs de François Gravel retrouveront avec bonheur certains personnages croisés dans Fillions et frères et Je ne comprends pas tout. »Monique Roy, Châtelaine« Il convoque dans son imaginaire les témoins d’un monde en voie de disparition. Cela donne un récit aussi hyperréaliste (et nostalgique) qu’un tableau d’Edward Hopper. »Magazine Vous« Un des meilleures raconteurs d’histoire du Québec présentement. Encore une fois, il fait mouche. L’écriture est habile et dresse habilement le profil de chacun des personnages. »Pierre Blais, CKRL« C’est un roman, non un conte, non une histoire et puis non c’est... c’est la vie; les réflexions, les pensées d’un homme qui se dévoile de page en page, à en devenir translucide. Le style est doux et charmeur, tout en nostalgie. Ce livre se lit paresseusement, comme si on se laissait bercer par une douce vague… vague à l’âme. À lire et relire. »Pierre Joseph Cloutier, L’Échappée Belle« Mission accomplie. On s'enfonce dans celui-là comme sous un edredon. Et remettez-moi encore une fois Eleonore Rigby ou Penny Lane, s'il vous plaît. (…) Voici l’histoire simple et touchante de tante Arlette, alias Betty Crocker, racontée par un écrivain qui vous chuchote à l’oreille et vous parle au cœur. »Anne Normand, La Voix de l’est« (…) récit qui se révèle un hommage à ces « reines du foyer » des années 60 qui, sans tambour ni trompette, ont élevé une génération de jeunes baby boomers derrière le comptoir de leur cuisine. D’un fait presque banal, ce romancier a l’art de faire surgir une histoire qui ferre son lecteur et l’enfonce dans un fauteuil. »Louise Chevrier, La Terre de chez nous« Dans un style simple et invitant, François Gravel nous fait vibrer au son des souvenirs de tante Arlette. Et c’est avec une certaine tristesse qu’on atteint la dernière page. »Marie-Ève Bouchard, Week-end Outaouais« On entre dans ce livre comme dans un album photo familial : c’est tendre, vivant et frais. »Sylvain Fortier, CIBL (Les oranges pressées)« Un récit qui respire la simplicité à l’image de la vie de ces milliers de femmes qui ont cajolé, nourri, soigné, habillé les enfants du Québec d’avant la Révolution. »Roger Fournier, CISM / Café au lit« François Gravel a un indéniable talent pour rapporter le quotidien et en faire ressortir l’essentiel. Adieu, Betty Crocker est l’une des histoires qui occupent notre esprit longtemps après que nous avons tourné la dernière page. Une histoire touchante grâce à ses personnages qui ont l’air réel, à ces propos qui font réfléchir ou sourire. »Marie-Ève Beausoleil, Le Devoir (étudiante au Collège Montmorency)« Quelle agréable lecture que ce roman rempli de petits bonheurs simples et discrets, où s’entrelacent économie familiale et histoires d’amour. »Alexandra Liva, Nuit Blanche« … But Gravel manages to write his way into the subconscious, evoking emotions that every reader will recognize - pathos, resignation and love. »Lise Fitterman, The Gazette