Cette année s’envole ma jeunesse
septembre 2012
« Les inconditionnels de Jean-François Beauchemin plongeront avec bonheur dans ce dernier livre. Les autres découvriront, avec ce bref et intense récit, une pièce révélatrice de l'œuvre de son auteur. »Linda Amyot, Nuit blanche« (…) Cette année s'envole ma jeunesse pourrait bien devenir un de ces petits livres qu'on lit et relit sans en épuiser toute la profondeur. »Linda Amyot, Nuit blanche« Patiente, lucide, au plus près des émotions premières de l'existence, l'œuvre de Jean-François Beauchemin est sans conteste l'une des plus accomplies de notre littérature. »Tristan Malavoy-Racine, Hebdomadaire - Voir« Une écriture riche, parfois teintée de lyrisme (…) »Jocelyne Vachon, Le Libraire« (…) récit poignant (…) »Danielle Laurin, Elle Québec« On demeure saisi par l'authenticité et la profondeur du propos. »Danielle Laurin, Elle Québec« (L'auteur) contribue par ses mots à la trame de ce livre extraordinaire, qui placera son lecteur devant ses propores disparitions. »Tristan Malavoy-Racine, Journal Voir« Jean-François Beauchemin clôt avec son nouveau récit la trilogie amorcée avec La Fabrication de l'aube. Un cycle développé à l'écart des modes, et qui risque fort de les traverser. »Tristan Malavoy-Racine, Journal Voir« C'est peut-être ce qu'il y a de plus riche dans Cette année s'envole ma jeunesse : comment, parlant de mort, de deuil, Jean-François Beauchemin parle aussi d'amour, d'espoir. Et de beauté. »Danielle Laurin, Le Devoir« Il y a dans ces pages quelque chose comme une belle âme, jeune ou vieille. Il y a quelqu'un qui cherche, qui vibre, qui va au bout de ses questions, de ses émotions. Il y a quelqu'un qui écrit avec grâce, dans un style hors d'âge, hors mode. Il y a toutes sortes de références à la littérature, au livres, sans que jamais cela n'apparaissent plaqué, surfait. (…) Il y a cette authenticité propre à Jean-François Beauchemin. »Danielle Laurin, Le Devoir« Pour moi, cette phrase de l'Américaine Annie Dillard contient toute la beauté et l'intensité de ce roman : « Si nous lisons, c'est avec l'espoir d'une beauté mise à nue, d'une vie plus dense et d'un coup de sonde dans son mystère le plus profond ». »Lyse Bonenfant, Radio-Canada - Bouquinage (Bas St-Laurent)« L'écriture de Jean-François Beauchemin est un cadeau ! »Hélène Cantin, Radio-Canada (Gaspésie-les-Îles)« L'oeuvre magistrale qui ouvre cette trilogie La Fabrication de l'aube est un livre exceptionnel. Le deuxième ouvrage Ceci est mon corps pousse encore plus loin la réflexion sur le sens de la vie et sur le deuil. Et (avec) le tome 3 intitulé Cette année s'envole ma jeunesse, la boucle est bouclée. »Hélène Cantin, Radio-Canada (Gaspésie-les-Îles)« (L 'auteur) nous touche par sa sensibilité et, en peu de mots, arrive à nous raconter une histoire humaine. »Danielle Perrault, M103,5 FM - Ce que femme veut« … une expérience intime avec les mots qui, par leur incarnation réelle et l'espace qu'ils occupent, confèrent une substance très forte à l'histoire. (…) La langue est belle ; ancrée dans le corps, elle nous remue profondément. »Éric Olivier Dallard, Journal Accès