Le Petit Pont de la Louve
janvier 2013
«Une fable belle et tragique (…)»Marie-Claude Fortin, Magazine Clin d’œil«Jean-François Beauchemin est un enchanteur. Il écrit des fables modernes pour adultes qui vont droit au cœur. Il explore sur un mode léger et cocasse le charme et la fraîcheur de l’enfance et en parcourt l’émouvante profondeur. Le Petit Pont de la Louve est un court récit irrésistible, rafraîchissant et touchant. Il met en scène Mathilde, une petite fille de six ans, futée, séductrice, sensible, spontanée. Lucide et sage… avant l’âge. Roman sans frontières, Le Petit Pont de la Louve est d’une portée universelle.Le Petit Pont de la Louve traite de la tyrannie de l’apparence physique quand il y a tant à découvrir derrière les apparences du temps qui passe la musique terrible des décennies qui vous roulent dessus et de la liberté. L’invention verbale, l’ironie douce, les phrases syncopées qui traduisent le langage expressif de la petite Mathilde, le réseau d’images inusitées et poétiques qui pénètrent la réalité, les personnages humains et chaleureux, sont autant d’éléments qui contribuent à faire du Petit Pont de la Louve une lecture réjouissante (…)»Suzanne Giguère, La Presse«Hilarant, Le Petit Pont de la Louve est telle cette vérité qui, candidement, sort de la bouche des enfants.»Le Libraire«Comme dans Garage Molinari, finaliste en 2000 du grand prix des lectrices Elle Québec, Jean-François Beauchemin utilise une langue à la fois chaleureuse et crue, pleine d’humour, mais où on sent une angoisse sourde, celle de la peur de vieillir.»Marie-Christine Tremblay, Moka Sofa«Dans l’univers de Jean-François Beauchemin, les enfants parviennent à une compréhension étonnante du monde pour leur âge. Mais du moment qu’on accepte la lecture du monde ô combien lucide, des enfants de son univers romanesque (…), on s’embarque dans une lecture qui ne manque pas d’humour (…) Au grand dam de ses parents qui aimeraient bien la détourner de sa tristesse incommensurable, elle se prendra d’affection pour un serpent taciturne nommé Canif. S’ensuivra alors une étrange quête de liberté où il ne s’agira pas tant d’apprivoiser l’autre que soi-même, ce qui constitue un renversement de perspective fort bienvenu dans un monde tapissé mur à mur de Petit Prince.»Érich Langlois, L’ENZYME Magazine culturel«Au fond, l’histoire de Mathilde, de ses grandes oreilles, de son ami Maurice et de son compagnon Canif est avant tout un appel à une redécouverte de soi.»Paul-François Sylvestre, L’Express« Dans ce petit récit plein de fraîcheur, l’auteur nous fait partager sa vision du monde de Mathilde, ses observations et ses peurs. En lui donnant la parole, il adopte un style d’écriture alerte, enjoué et rieur, où les bons mots succèdent aux calembours, sans fausse pudeur. Comme à six ans. N’empêche que ce délicieux petit roman masque bien une réflexion articulée sur la jeunesse et son pendant inévitable, la vieillesse, sur la joie de vivre et la tristesse de mourir. »Serge L’heureux, Le Nouvelliste