Le Joueur de quilles
août 2012
« Le Joueur de quilles, c’est une chambre aux miroirs; les points de vue se superposent et s’enchaînent avec une adresse réjouissante. »Michel Vézina, ICi« La voix d’Alain Beaulieu s’affirme de mieux en mieux. Elle n’est pas sans fausses notes ce qui ajoute à son charme. »Réginald Martel, La Presse« Au passage, le roman pose habilement la question de la responsabilité de la société dans la production en série de petits criminels, créés de toutes pièces par le milieu et la misère. »Christian Desmeules, Le Devoir« Entraînant le lecteur sur plusieurs pistes bien distinctes sans jamais le perdre, le roman d’Alain Beaulieu allie bien la réflexion et le divertissement. »Stéphane Despatie, Voir« Une lecture captivante, si vous ne connaissez pas cet auteur il est temps d’en faire la connaissance avec cet excellent roman. »Michel Doucet, Radio-Canada (Le Réveil, Nouveau-Brunswick)« On sent l’implication et le souffle de l’écrivain dans toutes les lignes. (…) Le Joueur de quilles est d’après moi un roman majeur. »Sylvain Fortier, CIBL (Les Oranges pressées)« Avec comme toile de fond la question de la responsabilité de l’écrivain, Alain Beaulieu nous livre avec Le Joueur de quilles un roman noir savamment construit. »Antoine Tanguay, Le Soleil en bus« La trame narrative est dynamique : des chapitres brefs où s’entrecroisent le récit de Samy et les extraits de l’autobiographie en question. »Benny Vigneault, Le Soleil« Roman réaliste à facture urbaine, Le Joueur de quilles montre peut-être davantage que ses livres précédents qu’investir la ville n’est pas pour l’écrivain une simple question de couleur locale. Il s’agit plutôt d’entrer dans la connaissance de la vie par la connaissance de la ville, de ceux qui l’habitent et des forces qui s’y entrechoquent. »Benny Vigneault, Le Soleil« Alain Beaulieu est un fascinant conteur, un amoureux de la ville de Québec, à laquelle il donne vie dans ses récits. »Carole Payer, Journal de Québec« (…) il s’agit d’un très bon roman. »Paul Larocque, Radio-Canada (Lamarche le matin, Québec)« Ainsi, les habitués de l’œuvre du romancier de la Vieille-Capitale retrouveront en ces pages, avec un plaisir non négligeable, un héros familier et un univers connu, campé avec une admirable attention aux détails. »Stanley Péan, Le Libraire« Méditation sagace sur le rôle de l’écrivain et de la littérature dans la société québécoise, plaidoyer en faveur du droit inaliénable au rêve, Le Joueur de quilles paraît donc tout à fait à point, en ces temps où les orientations de nos dirigeants en matière de culture nous obligent à nous interroger sur l’avenir. »Stanley Péan, Le Libraire« Construit avec cette même minutie à laquelle Alain Beaulieu nous avait habitués, rédigé dans cette écriture conviviale et faussement simple qui avait fait le charme de sa trilogie filiale, ce quatrième bouquin vient de confirmer à la fois le talent du romancier et notre estime, qui en est la retombée juste méritée. »Stanley Péan, Le Libraire« (…) l’œuvre de 262 pages de l’auteur du quartier Saint-Roch regorge de rebondissements inattendus, qui sauront à coup sûr captiver le lecteur. »Frédérick Masson, Québec Express« Récit qui démarre lentement, mais qui réussit à conserver un beau rythme qui nous conduit vers une conclusion très intéressante. Un roman efficace. »Pierre Blais, CKRL (Les matins distincts, Québec)« Quatrième roman pour adultes d’Alain Beaulieu, Le Joueur de quilles se dévore comme un thriller. »Marie Labrecque, Amazon.ca« Le Joueur de quilles est aussi traversé de réflexions sur le Québec, les inégalités sociales, l’engagement et la responsabilité de l’artiste. L’auteur n’en oublie pas pour autant de faire passer au premier plan son récit, divertissant et soutenu par des dialogues vivants. »Marie Labrecque, Amazon.ca« Le Joueur de quilles est sans aucun doute le roman le plus social de Beaulieu et son plus réussi aussi. À lire pour le plaisir et la beauté de l’écriture. (...) Ce qui fait le charme de ce roman, c’est que Beaulieu mêle habilement, d’un chapitre à l’autre, autobiographie de Belleau et histoire de Samy qui, de rencontre en rencontre, va de surprises en découvertes. (...) L’intrigue est rigoureusement et magnifiquement ciselée. (…) une aventure palpitante qui transforme cette autobiographie en roman policier et en roman politico-social. »Aurélien Boivin, Québec français