Philippe Rassat, soignant en pédopsychiatrie, et Pierre J. Truchot, enseignant en philosophie, s’étaient d’abord rencontrés, au siècle dernier, autour de Nicolas de Staël, objet, entre autres, de leurs travaux universitaires de fin d’études. Trente ans après, ils se sont retrouvés pour écrire ensemble le chapitre manquant sur l’importance de Jeanne Polge, la maîtresse de Nicolas de Staël à partir de l’été 1953, dans la vie et l’œuvre du peintre.