Comment concilier l’être humain et les nouveautés inhumaines qu’il a créées, telles que les Intelligences Artificielles et les automates cellulaires ?

Surtout quand on est réduit à l’état de simple cerveau et qu’une menace étrangère apparait brutalement.

Gardiens est un voyage dans le temps, dans l’espace et dans le psychisme d’un être isolé qui va combattre la menace car c’est son unique motivation pour continuer à vivre. Sinon, il serait tellement mieux s’il n’était plus...

Avec, en toile de fond, les inévitables incompréhensions entre espèces différentes, qu’elles soient biologiques ou artificielles.

Fiction ? peut-être.

Science ? un peu mais pas trop.

Introspection ? pourquoi pas...

Bon voyage dans ces univers si différents les uns des autres mais qui, en fin de compte, ne font qu'un.

Quatrième de couverture :

Une rêverie dans l’espace mais hors du temps.

Lors de la première rédaction de Gardiens, il y a des décennies, les choses banales d’aujourd’hui – comme l’Intelligence Artificielle – n’étaient encore que des concepts et les automates cellulaires venaient juste de naitre. Petites entités logicielles que l’on utilisait dans l’espoir illusoire de simuler les réactions de la société en cas de changement majeur.

Alors, comment concilier l’être humain et ces nouveautés inhumaines qu’il avait créées ?

La réponse serait aisée s’il n’y avait pas d’imprévus. Mais les imprévus font partie de la vie, qu’elle soit animale, végétale, tellurique ou cosmologique.

Et quand un imprévu se transmute en menace réelle, il n’y a pas d’autre choix que de tenter de s’en protéger, et trouver une solution acceptable est un long chemin à parcourir.

C’est l’objet de ce voyage : dans les méandres psychiques d’un être humain réduit à l’état de cerveau, comment faire ? La tâche semble impossible. L’introspection permanente de celui qui se retrouve privé de sensations physiques peut-elle être d’un quelconque secours ?

Mais il y a une donnée physiologique d’importance déterminante : le nombre de connexions possibles entre les neurones d’un seul cerveau humain est au moins des milliers de fois supérieur au nombre de particules recensées dans l’univers connu.

Et cela peut faire toute la différence...