Nicolas Kurtovitch

À propos de l'auteur

NICOLAS KURTOVITCH publie son premier recueil de poésie, Sloboda, en 1973. Il a 18 ans. Poète, il va au fil des années s’essayer également à tous les autres genres : nouvelles, essai, théâtre, son premier roman, Good night friend parait en 2006. Nicolas Kurtovitch est aussi l’une des premières voix calédoniennes d’origine européenne à s’être explicitement interrogée sur la nature de la relation entre les communautés en présence sur sa terre natale. Cette interrogation s’est même traduite à deux reprises très concrètement par des écritures à quatre mains avec des auteurs kanaks : Dire le vrai/Tell the truth, un recueil de poèmes, avec Déwé Gorodé. Les Dieux sont borgnes, une pièce de théâtre créée en 2002 et jouée en Avignon en 2003, avec le dramaturge Pierre Gope. En 2007, il a succédé à Charles Juliet et quelques autres au Randell cottage, résidence d’écrivains située à Wellington, en Nouvelle-Zélande. Et il a été dans ce cadre le poète invité de la remarquable revue néo-zélandaise de poésie, Poetry NZ. Lauréat 2008 du prix de poésie Antonio Viccaro et du prix du Salon du livre d’Ouessant pour son recueil Le Piéton du Dharma. Membre de l’Association des écrivains de Nouvelle-Calédonie, après en avoir été le premier président, et de la Société des gens de lettres, Nicolas Kurtovitch est aujourd’hui lu dans toute l’Océanie. Il est à l’origine de la création
du centre géopoétique de Nouvelle-Calédonie, en lien avec l’Institut de géopoétique initié par Kenneth White.

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