Comment se douter ; pressentir qu’un jour on sera à tartiner du porte-plume ?Il n’est apparu que bien plus tard à Paul Uroz ; revenu de tout, acculé par l’abréaction de sensations trop longtemps refoulées.Il éprouve l’envie de transcrire ses délires et fantasmes des choses de la vie et l’appétit de dépeindre par les mots la nature humaine.Pour lui, l’écriture c’est pouvoir : crier, proclamer, invectiver, conspuer… en silence.Avec ce quatrième ouvrage, il reste fidèle à l’exigence de la profondeur de ses personnages avec des textes authentiques et sans fard.