K. Lambert (Karine Lambert) a passé sa jeunesse entre Longueuil et les Laurentides, d’où sa famille est originaire. En 1987, les Lambert déménagent à Montréal. À l’âge de douze ans, Karine écrit déjà des contes. Mais, intéressée par les sciences, elle termine d’abord une formation en biochimie à l’Université McGill avant de se tourner vers l’enseignement des sciences au secondaire. L’écriture n’est cependant jamais bien loin et, parallèlement à son travail d'enseignante, Karine entreprend un certificat en création littéraire à l’Université du Québec à Montréal. Les premières publications ne tardent pas à venir. Tout d’abord Babayo (revue Biscuit chinois, 2007), puis Silence bleu (XYZ, La revue de la nouvelle, 2009) et Sous pression (revue Biscuit chinois, 2009). Son implication auprès de ses élèves lui inspire un premier roman jeunesse, Zack et ses électrons (éditions Pierre Tisseyre, 2010). Elle fait par la suite une maîtrise en études littéraires à l’Université du Québec à Montréal. Depuis, elle se consacre à temps plein à l’écriture.