Franco-Ontarien de naissance, avec un quart de sang américain, Frèdelin Leroux fils est traducteur et réviseur depuis toujours (ou presque). Adolescent, il rêvait de devenir basketteur. Sa taille, modeste, l’a vite ramené à la réalité. Depuis quelque trente ans, il essaie plutôt de déjouer la vigilance des cerbères de la langue.