C’est en 1991 que débute la carrière française de Suehiro Maruo, dans les pages d’un numéro spécial de la Revue (A Suivre) dirigé par Moebius, qui le présente ainsi : « Maruo est l’incandescence totale de la colère sexuelle, de la volonté destructrice, de l’appel au secours permanent d’un enfant torturé. »