Les quatrains d'Omar Khayyam ont été minutieusement traduits par Abolgassem E'tessam-Zadeh et publiés au début des années 1930. Homme de lettres, journaliste et homme politique né en 1891, il avait sans doute vu en Khayyam une étoile filante traversant nos mémoires lointaines à la recherche d'une Perse éternelle dispersée comme un miroir brisé, dont chaque morceau chante l'hymne à la vie, à la beauté et à l'ivresse.