L’âge, le sexe, l’origine, la profession de « personne » ne sont pas dites. C’est le choix de se soustraire à ce qui est peu à peu devenu incontournable dans l’édition au sens large : la disparition de l’œuvre au profit de l’identité publique des auteurs. Et le choix aussi de la liberté qu’offre l’anonymat. C’est dans cet esprit que personne s’est penché.e sur « le cas Mélania ».