Frédéric Duplessy

Frédéric Duplessy, 54 ans, a construit sa carrière dans le domaine de la publicité, la communication-médiation, le marketing et les solutions digitales interactives durant 30 ans, dont 11 années comme chef d’entreprise et employeur. Cette expérience l’a amené à étudier la psychanalyse dès 2010, et à devenir lui-même analyste en 2016, pour s’installer en 2017 comme psychanalyste libéral, superviseur et psychodramatiste. Président d’Initiative Limousin et Initiative Haute-Vienne de 2009 à 2011, membre du conseil d’administration d’Initiative France durant cette période, il est vice-président d’Initiative Haute-Vienne depuis 2012. Il intervient en tant qu’accompagnant moral au sein des associations de chefs d’entreprises Léon France à Angoulême et Entraide & Entrepreneurs à Bordeaux depuis 2018. Il enseigne depuis 2008 la communication, le marketing digital, le marketing industriel et le management industriel à l’Université de Limoges, tout d’abord à l’Institut Universitaire de Technologies et à l’Ecole Universitaire de Management IAE, puis par la suite, et encore actuellement, à la Faculté de Lettres et de Sciences Humaines, à l’Ecole Nationale d’Ingénieurs ENSIL ENSCI ainsi qu’à la Faculté de Pharmacie. Il présente et anime des conférences, des tables-rondes et des ateliers relatifs à la santé et à la solitude du dirigeant ou du chef d’entreprise, à la qualité de vie et au mal-être au travail, à l’évolution sociale et à nos comportements liés aux techniques d’information digitales, et aussi au marketing, au management, à la création-gestion d’entreprise, aux solutions d’accompagnement moral du chef d’entreprise. Avec Catherine Jauréguy et Sophie Gaillard, il écrit et joue des spectacles sous formes de sketches, ateliers, vidéos et conférences comme « Entrepreneur c’est le bonheur ! », « Le travail c’est la Santé ! », etc. « La Clinique Analytique Nouvelle est spontanément née des brumes d’un songe, au réveil, cristallisant un sigle signifiant : LaCAN. Signifiant pour le coup édifiant puisqu’il est à l’origine et au quotidien de ma pratique, de l’orientation initiale de ma cure, de mes études jusqu’à mon travail psychanalytique actuel, avec bien sûr et tout d’abord Sigmund Freud, ainsi qu’un autre pionnier de l’analyse que j’affectionne particulièrement, et dont je me sens proche, Sándor Ferenczi. Il est survenu par association, et peut-être pour en devenir une, d’association, mais de la Loi de 1901, ou peut-être une plateforme d’accueil d’autres formes de structures (Fondation, édition, etc.), car il s’est imposé à moi comme une signature globale pour mes travaux, recherches, productions et interventions analytiques. Et pourquoi pas pour ceux de quelques autres... Cette clinique n’a de nouvelle que son expression d’aujourd’hui, dans une société qui n’est plus celle des contemporains de Jacques Lacan, société qui produit des symptômes différents de ceux des XIXe et XXe siècles, une clinique du XXIe siècle donc, qui doit pourtant tout aux deux siècles d’expérimentations et de productions psychanalytiques précédents. La langue de la psychanalyse est unique et précieuse. »