Née en Tunisie, Monia Mazigh émigre au Canada en 1991 et vit à Ottawa. En 2008, elle publie, chez Boréal, «Les larmes emprisonnées», un récit qui relate le combat qu’elle a mené pendant plus d’un an pour libérer son époux, Maher Arar, emprisonné en Syrie sous de fausses allégations de terrorisme. Depuis, elle milite pour différents organismes défendant les droits de la personne.