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PréférencesTout accepterTout refuserDe son enfance, Vanessa Arraven se souvient surtout de cet énorme livre sur les mythologies dans la bibliothèque familiale et des journées d’été, à lire dans les branches de son chêne préféré. Elle a grandi en Provence, entre deux collines creusées par une rivière et imaginait parfois les lutins et les sylphes lui murmurer des histoires.
Elle n’a jamais cessé d’en inventer depuis.
Des personnes l’ont guidée sur ce chemin : l’écrivain et critique Pierre Jourde, dont elle a suivi les cours ; les éditeurs du Chat noir, qui ont publié plusieurs de ses nouvelles et son premier roman – sous le nom de Vanessa Terral : L’Aube de la guerrière (prix Coup de cœur ado de Saint-Lys en 2014)... Mais les rencontres sont parfois aussi de papier, et les Grandes Encyclopédies de Pierre Dubois, la fantasy urbaine de Neil Gaiman, l’humanité de Patricia Briggs l’ont invitée à poser le merveilleux dans des lieux réels (en France le plus souvent) et à miser sur des héroïnes qui prennent leur destin en main. En 2016 sort son troisième roman, toujours au nom de Terral : Le Gardien de la Source, lequel entremêle courant gothique, romance historique et substrat mythologique.
Aujourd’hui cheminante chamane, Vanessa continue de tendre l’oreille aux murmures du vent et de la terre...