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Résumé

À la demande du vieux Pridamant, désespéré de ne pas retrouver son fils Clindor, le magicien Alcandre déroule le spectacle des aventures de ce dernier. 
D'un lieu à l'autre, et à travers le temps, des « spectres animés » figurent sa vie de picaro. Au service du fanfaron Matamore, Clindor courtise la même jeune femme que son maître, tout en déclarant sa flamme à une autre. Sauvé de justesse de la prison et d'une mort certaine, il réapparaît ailleurs, éblouissant, pour succomber bientôt à une fin tragique. À moins que tout ne soit qu'illusion…
« Étrange monstre », selon les propres termes de Corneille, L'Illusion comique s'inscrit pleinement dans le courant baroque des années 1630. Son extravagance, sa bizarrerie ont surpris et séduit tous les publics. Brillant et vivant éloge de l'art dramatique,
L'Illusion comique déstabilise autant qu'elle enthousiasme.

Bibliolycée propose
• le texte intégral annoté,
• un questionnaire bilan de première lecture,
• des questionnaires d'analyse de l'œuvre,
• cinq corpus accompagnés de questions d'observation et de travaux d'écriture,
• une présentation de Corneille et de son époque,
• un aperçu du genre de l'œuvre et de sa place dans l'histoire littéraire.

Auteur

  • Pierre Corneille (auteur)

    1606 - 1684. Avocat, il débute au théâtre par des comédies (Mélite, 1629 ; la Galerie du Palais, 1632 - 1633 ; la Place Royale, 1633 - 1634 ; l'Illusion comique, 1635 - 1636) et devient célèbre avec une tragi-comédie, le Cid (1637), qui provoque une querelle littéraire. Sensible aux critiques, il se consacre alors à la tragédie « régulière » (Horace, 1640 ; Cinna, 1642 ; Polyeucte, 1643), sans abandonner la comédie à la mode espagnole (le Menteur, 1643 ; Don Sanche d'Aragon, 1650) et les divertissements de cour (Andromède, 1650). Évoluant vers une utilisation systématique du pathétique et des intrigues plus complexes (la Mort de Pompée, 1643 ; Rodogune, 1644 - 1645 ; Nicomède, 1651), il connaît avec Pertharite (1651) un échec qui l'éloigne du théâtre pendant sept ans. Il traduit en vers l'Imitation de Jésus-Christ (1651 - 1656) et s'occupe de l'édition de son théâtre, dont il définit les principes dans les Examens de ses pièces et trois Discours (1660). Revenu à la scène (Oedipe, 1659 ; Sertorius, 1662 ; Sophonisbe, 1663 ; Attila, 1667), il voit le public lui préférer Racine (Tite et Bérénice, 1670). Corneille peint des héros « généreux » pour qui l'honneur et la gloire méritent tous les sacrifices. Le drame cornélien atteint le « sublime », mais refuse le « tragique », puisqu'il est le fait d'êtres libres qui décident toujours de leur destin. (Académie française.)

Auteur(s) : Pierre Corneille, Fanny Marin

Caractéristiques

Editeur : Hachette Éducation

Auteur(s) : Pierre Corneille, Fanny Marin

Publication : 10 septembre 2003

Intérieur : Noir & blanc

Support(s) : Livre numérique eBook [PDF]

Contenu(s) : PDF

Protection(s) : DRM (PDF)

Taille(s) : 2,89 Mo (PDF)

Langue(s) : Français

Code(s) CLIL : 3038, 4141, 4142

EAN13 Livre numérique eBook [PDF] : 9782011606778

EAN13 (papier) : 9782011687104

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