Résumé
Poète réaliste et inquiet, Jack Messy regarde en lui et autour de lui, répondant aux questions qu’il se pose par des constatations parfois insolites : la mort : N’est pas l’épouse de ceux qui meurent mais la veuve de ceux qui demeurent, ou qui ne vont pas sans un humour un peu morose :... et quand je ne serai plus, sur ma tombe toute rose, une nuit qu’il aura plu, avant que le jour n’éclose, tu poseras, mon amie, un bouquet de tes soucis... La guerre est pour lui le cauchemar ineffaçable qui a marqué trop de jeunes hommes, et une tristesse avouée ou latente pèse sur chacune de ses pages comme, quand se meurt le jour, les ombres crépusculaires, mais cette tristesse n’est en aucune aussi poignante que dans le poème qu’elle titre, et pour lequel Jack Messy a choisi l’exergue de trois vers de « La jeune Parque » : Qui pleure là, sinon le vent simple, à cette heure seule avec diamants extrêmes ?... Mais qui pleure si proche de moi-même au moment de pleurer ? avouant ainsi son désarroi.
Caractéristiques
Editeur : FeniXX réédition numérique
Publication : 1 janvier 1960
Support(s) : Livre numérique eBook [PDF]
Protection(s) : Marquage social (PDF)
Taille(s) : 4,19 Mo (PDF)
Code(s) CLIL : 3633, 3435
EAN13 Livre numérique eBook [PDF] : 9782307410188