Alors qu’adolescente je fuyais la lecture, c’est le cinéma qui me mènera à la littérature ; ce fameux jour, où j’ai vu sur le grand écran l’adaptation du roman de Milan Kundera, « L’insoutenable légèreté de l’être » Rien que le titre... à la fois poétique et psychanalytique, je le trouve si inspirant ! Aparté fait : en revenant de la maison mon père me dit qu’il avait encore le roman. Je le lui ai emprunté, désirant retrouver cette histoire et rester dans la bulle de ces personnages, une bulle devenue un peu mienne. Dès lors, la lecture ne me quittera plus. Parce qu’il suffit d’un film, d’un livre, d’une phrase, d’un regard bienveillant pour nous ouvrir de nouveaux horizons et parfois même, bouleverser une vie.Bien sûr, après avoir avalé quelques romans de Milan Kundera, il a bien fallu couper le cordon, s’ouvrir à d’autres choses : aller à la découverte d’autres auteurs tout aussi passionnants ; mais je reviens toujours à mes premières amours, que ce soit dans la littérature ou dans la cinématographie, avec ces films et livres où des êtres se croisent et se décroisent, des tranches de vie mais dont les rencontres font sens, quelque chose de l’ordre du quotidien mais de l’extraordinaire aussi.Alors, dans cet esprit-là, je vous livre mon premier roman « Accords perdus » qui lie deux domaines chers à mon cœur, la musique et la psychologie, à travers la vie croisée de trois personnages, faillibles et heureusement imparfaits, qui se trouvent à un moment charnière de leur vie. Tous ne sont pas en plein bouleversement – mais pour sûr, Jeanne, Rebecca et Ruben sont dans un de ces moments que l’on nomme : points de basculement. Le roman y mêle amitiés, amours et voyages.J'oubliais, c'est vrai, mes excuses ! Je suis une ex-juriste d'entreprise, prof de français dans les entreprises en Flandre - où je vis désormais, mariée et maman.Merci pour votre attention.À très bientôt j'espèr