L'Homme de ma vie
février 2013
Lundi 3 février, Pierre Thibault commentant L'Homme de ma vie :« un bouquin qui m'a fasciné à bien des égards (…) un livre qu'il faut lire (…) Le résultat m'a fasciné (…) La force de ce livre est de comprendre la genèse d'un écrivain. »Marie-France Bazzo, SRC radio, Indicatif présent« L’Homme de ma vie raconte sans pudeur, avec un style flamboyant, une écriture sentie, une passion contagieuse, non pas l’homme de sa vie, mais les hommes qui ont fait d’elle la femme qu’elle est devenue (…). »Marie-Claude Fortin, Voir« Impudique, enflammée, avançant dans son récit sans protection, Aline Apostolska nous sert, par la bande, une fascinante réflexion sur le genre autobiographique. »Marie-Claude Fortin, Voir« Le plus récent roman d'Aline Apostolska est un beau livre. Un livre plein de vérité, de tendresse, de lucidité, d'amour. L'Homme de ma vie est une ode à l'humanité où se côtoient bonheur et chagrin, grandeur et faiblesse, obstination et abandon. Ce roman n'est pas le fruit de la facilité; l'auteure n'encense ni ne diminue systématiquement les hommes dont elle trace le portrait. Y est traduit surtout l'impact qu'ont eu sur elle et son devenir les hommes qui ont ponctué sa vie. Et le tout est exécuté avec une grande finesse (…) »Sophie Pouliot, Le Devoir« (…) L'Homme de ma vie ne serait pas ce qu'il est sans le magnifique chapitre qui traite du rapport entre la mère et ses fils (…). »Sophie Pouliot, Le Devoir« Un des grands mérites de l'auteure, en ce qui a trait à cette section du livre, plus encore que sa facilité à transmettre l'émotion brute de la maternité ou que la beauté proprement dite d'une écriture sincère et riche, tient au fait qu'à aucun moment elle ne sous-entend qu'il est plus précieux pour une mère d'enfanter un garçon qu'une fille (…). »Sophie Pouliot, Le Devoir« En parlant des hommes, Aline Apostolska aborde une réflexion sur l'identité féminine ainsi que sur les différentes approches qu'il est possible d'adopter face à la vie. Or elle le fait avec nuances, franchise et élégance, ce qui permet au lecteur d'apprécier L'Homme de ma vie sur les plans à la fois intellectuel, émotionnel et artistique. Ce roman est ainsi une oeuvre complète. »Sophie Pouliot, Le Devoir« Un exercice difficile et impudique, qui a permis à cette auteure de 25 livres, dont la plupart creusent l’âme féminine, de se révéler à elle-même. »Micheline Lachance, L’Actualité« L’Homme de ma vie contient de ces phrases qui, loin d’être moralisatrices ou grossièrement édifiantes, résonnent longtemps dans notre tête et appellent à notre intelligence et à notre sensibilité. »Benny Vigneault, Le Soleil« Dans les pores du texte, entre les lignes et les mots de ce roman, le lecteur complice trouvera une place confortable qui l’amènera certainement à se découvrir un peu plus et, peut-être, à trouver le moyen de se réinventer. »Benny Vigneault, Le Soleil« Après le touchant Lettres à mes fils qui ne verront pas la Yougoslavie, Aline Apostolska, dans ce récit heurté, exalté, lyrique, va très loin dans les confessions. »Monique Roy, Châtelaine« Il y a la beauté de passages comme celui qui raconte la mort de la grand-mère; celui qui narre le retour, après 17 ans d’absence, au pays natal, contrée tumultueuse dont elle a hérité la fougue et la sensibilité exacerbée, étoffes dont on fait les véritables écrivains. »Monique Roy, Châtelaine« Dans un récit ouvertement autobiographique, forcément impudique et ultimement courageux, Aline Apostolska raconte les regards masculins dont est tissée sa vie de femme. »Johanne Despins, Radio-Canada - Aux arts etc.« (…) elle nous livre aujourd’hui un récit d’une profonde humanité, le témoignage émouvant d’une femme libre à la recherche de sa propre vérité. »Christian Desmeules, Le Libraire« Un livre qui renverse par son authenticité et sa profondeur. Et une plume avec ça! (…) Des pages qui brûlent d’une urgence de dire sincère et boulversante. »Christian Desmeules, Le Libraire« On a beau être prévenue, l’écriture nous souffle dès les premières lignes. La poésie, le rythme, la musicalité sont dignes des plus grands. Si la beauté suffit parfois, pour être inoubliable, un livre doit raconter une bonne histoire, et celle-ci en est. (…) Un magnifique exercice sur le féminin et le masculin, porté par une écriture qu’il faut absolument découvrir. »Mélanie Thivierge, Magazine Coup de Pouce« Voilà un ouvrage courageux, qui ose poser plusieurs questions fondamentales relatives à l’origine, à l’exil, à la liberté, à l’amour, à l’abandon, sans avoir l’agaçante prétention d’y apporter des réponses, mais plutôt en adoptant la position de celui qui cherche, s’interroge, demeure lucide malgré les difficultés et, surtout, espérant. (…) il ressort de ce parcours une parole authentique et audacieuse avec laquelle il est intéressant, voire enrichissant, de cheminer au gré de ces 200 pages. »Isabelle Duval, Québec français« Un très beau récit autobiographique. Un écho aux relations que nous développons avec les hommes de nos vies. Notre relation avec eux sera transformée et plus épanouie. Un clin d’œil à la vie. »Linda Newman, CHOD« Parallèlement à cette remarquable cartographie du désir, Aline Aposlolska élabore, hors des dogmes et des méthodes, une somptueuse réflexion tant sur les relations entre les hommes et les femmes, que sur l’identité, l’altérité, la maternité et l’écriture comme incontournable territoire de la quête de soi. S’il est vrai, comme on l’a déjà prétendu, que le récit est un genre fondamentalement impudique, voici le livre de l’impudeur obligée et assumée. Car si le geste même d’écrire suppose une certaine perversité, Aline Apostolska nous démontre, dans une écriture bouleversante, que cela doit s’exercer sans aucune compromission et en toute connaissance de cause. »Danielle Laurin, Radio-Canada - Bouquinville« (…) son livre le plus touchant. (…) C’est un livre qui nous porte à réfléchir sur nos propres relations. »Danielle Laurin, Radio-Canada - Bouquinville« Mais Aline Apostolska fait aussi – et peut-être surtout – œuvre de réflexion, au-delà de l’anecdote, sur ces réalités essentielles que sont l’identité, la maternité, les rapports hommes-femmes, l’intégrité face à nos propres croyances et désirs profonds. »Linda Amyot, Nuit Blanche« Passionnée, authentique, l’auteure raconte en toute sincérité et sans fausse pudeur, mais sans jamais céder à la facilité. Toujours domine la rigueur de l’écriture de celle qui, née sous le signe de la mouvance, a choisi Montréal pour véritablement devenir une écrivaine. Un récit fort qu’on aura envie de relire. »Linda Amyot, Nuit Blanche