L'Énigme de Sales Laterrière
janvier 2013
«Le roman historique à son meilleur. Haletant, superbement écrit et minutieusement fouillé (...), la finesse de l’écriture et la légèreté souriante du style sont autant de qualités qui rendent fort alléchant ce récit tournant autour d’un personnage mal connu de notre histoire. (...) Une figure controversée et pittoresque, donc, que l’auteur d’Outremont dépeint admirablement dans le contexte historique beaucoup plus large d’une époque marquée par les interdits moraux, la difficulté de survivre et les tensions politiques. (...) L’auteur fait l’éloquente démonstration que la gestion d’une telle masse d’informations n’empêche pas la poésie d’agir avec une subtile vivacité.»Maxime Jacobs, L’Express d’Outremont, 31 mars 2000.«Il faut saluer la fabuleuse recherche de Bernard Andrès qui, outre les exploits parfois rocambolesques de Laterrière, recrée les événements marquants de l’époque (...). Il raconte aussi la savoureuse passion du seigneur des Éboulements pour la belle Catherine Delzenne, enlevée à seize ans et mariée de force à un homme ayant trois fois son âge.»Micheline Lachance,Femme Plus, avril 2000.«Dès les premières pages, on comprend qu’avec pareil personnage, Bernard Andrès ne va pas suivre les entiers battus.»Jean Chartier, Le Devoir, 8-9 avril 2000.«Si L’Énigme de Sales Laterrière avait été publié aux États-Unis, il y a fort à parier que tous les grands studios se seraient disputés les droits avant même qu’il n’apparaisse sur les rayons. (...) Sur fond d’insurrection, de censure et de complots, la fresque historique que signe Bernard Andrès, nous fait découvrir non seulement un personnage méconnu de cette époque, mais tout un pan occulté de l’histoire du Canada. Écrit dans un style qui fait souvent penser aux grands romans du XVIIIe siècle (...). Passionnant, faut-il ajouter (...). Tout, dans les moindres détails, semble placé là afin de nous obliger à aller plus loin.»Mario Dufresne, La Presse, 9 avril 2000.«Rigueur dans la recherche, passion pour le personnage et souci de la vérité accompagnent le fil de cette œuvre harmonisant habilement la vision de l’histoire et le jeu romanesque.»Sylvain Desmeules, L’Hebdo charlevoisien, 8 avril 2000.«Avec ce roman historique qui fait une belle place à l’humour, Bernard Andrès redonne vie à un homme mort il y aura bientôt deux siècles. Un ouvrage d’envergure, un travail passionné, un résultat concluant. L’Énigme de Sales Laterrière est le type par excellence du roman historique.»Osée Kamga, Magazine ICI, Montréal, 15 juin 2000.«Bernard Andrès connaît la vie de son personnage, qu’il relate ici avec toute la modestie qui sied à un historien (...). S’appuyant sur de très nombreux documents (...), Andrès a d’abord fait œuvre d’historien (...). Il insère par exemple dans son récit des aperçus fort instructifs sur la franc-maçonnerie. Laterrière (...) demeure une énigme –on n’a pas pu jusqu’ici établir avec certitude l’année de sa naissance- que Bernard Andrès a menée avec rigueur et plaisir, dans une écriture à la fois sensible et précise. Et qui se lit comme un roman, tous genres confondus.»Robert Chartrand, Le Devoir, 10-11 juin 2000«Bernard Andrès a fouillé archives, généalogies, documents historiques officiels et autres ouvrages pouvant le mettre sur la voie de la «vérité». Mais tout cela ne l’a pas empêché d’écrire un roman plein de légèreté et d’humour, faisant en l’occurrence très bon ménage avec le savoir .»Pascale Navarro, Magazine Voir, 27 juillet-2 août 2000.«On ne peut qu’être ébloui, en entrant dans ce livre, par l’érudition de l’auteur et par la manière élégante dont il la monnaie. (...) La réussite la plus étonnante, dans ce genre, ne se trouve toutefois pas au Canada, mais à Boston, où de Sales Laterrière fait ses études de médecine : on y assiste, médusé, à toutes sortes d’événements médicaux et autres, comme si quelque machine à voyager dans le temps nous y avait amenés.»Gilles Marcotte, L’Actualité, juillet 2000.