Au nom de Compostelle
août 2012
« Comme dans ses romans précédents, Maryse Rouy raconte ici les choses simplement, par l’intermédiaire d’une écriture vive et vivante, avec le souci du détail qui laisse deviner son érudition, mais sans jamais tomber dans la plate leçon d’histoire. Quant à ses personnages, ils sont absolument médiévaux. La romancière évite en effet le piège trop commun de mettre en scène des hommes et des femmes à la psychologie contemporaine dans un cadre médiéval. Le résultat est un voyage dans le temps aussi divertissant qu’instructif. »Sonia Sarfati, Le Presse« Le Québec a déniché en Maryse Rouy une habile conteuse dont le savoir encyclopédique est admirablement rendu par une écriture fluide. Chez elle le souci du détail est ostensible (…). »Le Libraire« Elle les aime, ses cathares. Elle leur avait déjà consacré un beau roman, sous le titre des Bourgeois de Minerve, et voici qu'elle leur donne un rôle important dans son dernier livre (...). Tout cela est fort pittoresque en même temps qu'instructif: on ne s'ennui pas chez Maryse Rouy. Des connaissances solides mais surtout une écriture limpide, sans prétention, font de son dernier roman un divertissement de qualité. »Gilles Marcotte, L’Actualité« L’auteure sait nous tenir en haleine jusqu’à la toute dernière page. Un excellent roman d’où la pédagogie semble totalement absente, tant elle sait se faire légère; bien sûr, on en apprend que mieux! »Uparathi Provencher, Planète Québec« La romancière a l’art de bien ciseler ses phrases et elle nous sert de savoureuses descriptions. »Paul-François Sylvestre, Le Métropolitain« Spécialiste du moyen âge français, Maryse Rouy sait mettre son savoir au service d’une fiction vivante et efficace. Elle nous donne à lire une intrigue où le politique et le religieux, le social et le moral, s’entrecroisent allègrement, au plus grand plaisir du lecteur. »Paul-François Sylvestre, Le Métropolitain« Maryse Rouy à cette manière de raconter simplement les choses. Elle entre directement en relation avec son public. (…) Elle sait beaucoup de choses sur cette période (Moyen-Âge) de l’histoire, mais elle le passe d’une manière tellement simple que ça n’alourdie jamais la narration. On sent l’érudition dans ses propos, mais il n’y a pas de lourdeurs du tout. (…) Encore une fois, Maryse Rouy a réussi à camper des personnages vraiment très, très médiévaux, je trouve que c’est l’une de ses forces, elle ne met pas en scène des personnages contemporains dans un milieu médiéval. Vraiment, il nous semble étrange ces personnages-là, c’est du vrai monde, ils sont très crédibles (…). C’est un roman très, très crédible, qui se lit vraiment bien. Elle a un plaisir contagieux probablement à écrire mais on a vraiment du plaisir à rentrer dans ce monde-là. »Sonia Sarfati, Bouquinville« Que Maryse Rouy soit une spécialiste du Moyen-Âge ne surprendra personne après la lecture d’Au nom de Compostelle. Autant par le ton général que par les petits détails historiques, le cinquième roman de l’auteure reflète avec beaucoup de conviction cette époque révolue. »Cindy Lévesque, Le Nouvelliste« Grâce à une plume alerte et à la passion que lui inspire visiblement le Moyen-Âge, elle fait de ses romans non pas des leçons d’histoire, mais bien des histoires pleines de fascinantes leçons sur les coutumes et les gens d’autrefois. »Julie Sergent, Amazon.ca« Au premier abord, ce qui frappe, c’est l’érudition de l’auteure, qui semble connaître le Moyen-Âge comme le fond de sa poche. (…) Au passage, on emmagasine un million de connaissances nouvelles sans jamais avoir l’impression d’étudier. Car il s’agit bel et bien d’un roman, doté d’une intrigue menée de main de maître et qui nous tient en haleine. Aussitôt franchi le cap des 25 premières pages, le plaisir se décuple à l’infini, jusqu’au chapitre final, renversant. »Mélanie Thivierge, Magazine Coup de Pouce« Un passionnant polar médiéval qui n’est pas sans rappeler Le nom de la rose d’Umberto Eco. »Didier Fessou, Le Soleil« Captivante de bout en bout, dépaysante, instructive, intelligemment racontée, cette histoire n’a pas volée les honneurs qui lui on été réservés, hier soir, à Saint-Pacôme. »Didier Fessou, Le Soleil