Asphalte et vodka
avril 2013
« Asphalte et vodka (…) est le premier roman de Michel Vézina et, jusqu'à maintenant, l'œuvre la plus remarquée de la rentrée littéraire 2005.Jean-François Crépeau, Le Canada français« Une « cavalcade insensée » drôlement dépaysante… »Marie-Claude Fortin, Entre les lignes« Ce périple au cœur d'un univers dévoyé n'est possible que par la vivacité du style de Michel Vézina, par la passion qu'il met à nous faire aimer ce que sont Jean et Carl… Asphalte et vodka (…) nous fait pénétrer dans l'intimité d'un univers où règne la démesure, toutes les démesures. À ce seul titre, le roman aurait un grand mérite. Mais les images qu'utilise l'écriture de Michel Vézina, son langage presque inventé et l'humanisme sincère qui cimente ses personnages en sont les valeurs ajoutées. »Jean-François Crépeau, Le Canada français« Véritable escapade à travers le globe, un voyage à la fois mystérieux et intérieur. Un auteur qui se démarque. »Denis Lévesque, CHRM-FM - Le Sentier du bonheur (Matane)« Histoire bien racontée, personnages intéressants, références exemplaires et passionnantes sur la musique, le Québec, les bars, les Beatniks. (…) un beau moment de lecture. »Pierre Blais, CKRL-FM 89,1 Qc – Le nombril de la semaine« (…) Vézina sait dégager une poésie d’ensemble de cette rencontre qui célèbre l’amitié masculine. » Daniel Rolland, Culturehebdo.com« (…) Asphalte et vodka est un vrai road novel. (…) Tout le travail de l’auteur réside dans la narration. (…) Michel Vézina est un conteur, qui a le sens de l’image, du rebondissement, de la scène pittoresque. C’est très bien présenté et avec beaucoup d’humour. »Jean Fugère, Radio-Canada / Et pourquoi pas dimanche« (…) Asphalte et vodka ne fait pas dans la dentelle ni dans le bucolique. On a plutôt affaire à un roman de rocker, bluesman serait plus juste, qui met en scène des perdants magnifiques, plus près des personnages de Kerouac que de ceux de La Princesse de Clèves. ... L’aventure, aussi simple que flamboyante, regorge d’anecdotes hilarantes, racontées dans un style pas piqué des vers. » Stéphane Despatie, Entre les lignes« Si bref soit-il, Asphalte et vodka se révèle un roman ambitieux qui embrasse tout un siècle et tout un continent. » Stanley Péan, Le Libraire« Un roman qui s’inscrit dans la grande tradition du road novel des Amériques tout en étant bien campé dans le Québec. Des personnages auxquels on s’attache, plus grands que nature (on pense ici à VLB, entre autres) et qu’on apprend à découvrir au fil de la route, dans un livre où il n’est pas toujours facile de démêler le vrai du faux, au plus grand plaisir du lecteur porté vers l’imaginaire. (…) Bref, un premier roman très intéressant, pour tous ceux qui aiment s’imprégner des routes américaines. » Isabelle Bouchard, CKIA – Épilogue« Une découverte. (…) C’est dur, cru, tendre aussi. Échevelé, mais irrésistible. »Danielle Laurin, Elle Québec« Ce roman constitue à la fois un remarquable éloge de l’incontournable territorialité qui habite chacun de nous et une somptueuse fête du langage signé Michel Vézina. »Éric Gougeon, Librairie Imagine« Michel Vézina livre un premier roman accrocheur. (…) Un honnête roman d'errance s'inscrivant dans le sillon de Volkswagen blues et Sur la route, soucieux d'authenticité dans la livraison des dialogues. (…) Asphalte et vodka parvient à extraire des racines québécoises l'alcool fort de la dépossession.»Benoît Jutras, Voir« Jazz, vaudou, drogue, poésie, alcool fort : tel est le cocktail étonnant que nous a concocté Michel Vézina avec Asphalte et vodka, son premier roman. Un drink tonique, que l'on avale cul sec, et qui nous secoue les puces sans ménagement. »Marie-Claude Fortin, La Presse« Le résultat est aussi fascinant. Et si l'oeil bute de prime abord sur les mots de son vieux héros trompettiste, qui nous raconte « la fin d'un grosse gig. My last pis ultimate. Ma dernière », l'oreille s'habitue, les muslces se détendent, l'alcool aidant, et l'on se laisse porter par la musique, bienheureux. »Marie-Claude Fortin, La Presse« Vézina prouve que le road novel n'est pas mort avec les derniers romanciers beatniks… Les auteurs trépassent, les oeuvres, non. »Stéphane Plante, Réseau Canoë.com« Asphalte et vodka fait vivre au lecteur la traversée de l'Amérique de deux musiciens, dans la pure tradition des romans d'errance. »Pierre Cayouette, L'Actualité« … Ces « jack » sont nés de l’imagination de Michel Vézina, qui signe ici son premier roman, un road book qui réinvente avec génie une voix, une langue, des émotions telles que vécues par des hommes. » Le Journal de Montréal« Une réussite complète! » Le Journal de Montréal« Nos voisins du sud diraient sans doute qu’il s’agit d’un road novel. D’autres parleront probablement d’un « roman du pays », au sens le plus vaste, le plus noble du terme. Une chose demeure, ce roman constitue, jusque dans ses excès, à la fois un remarquable éloge de l’incontournable territorialité qui habite chacun de nous et une somptueuse fête du langage signée Michel Vézina. » Librairie Pantoute« Bien sûr, on peut dire d’Asphalte et vodka qu’il s’agit d’un road novel. On peut aussi le présenter comme une histoire de retour au pays natal. Une histoire de musique et de drogue narrée à la troisième personne, mais avec des dialogues particuliers… (…) Le lecteur n’oubliera pas cette histoire à la Jack Kérouac que nous offre Michel Vézina en cette rentrée littéraire 2005. » Donald Alarie, Connexion Launaudière« Voici un roman qui sort de l’ordinaire. Un roman qui a du souffle, si j’ose dire. Du souffle et fabuleusement écrit. Écrit en vernaculaire de ruelle teinté de créole franco-américain. Une langue bizarre et pas toujours facile à comprendre. (…) Le résultat est spectaculaire. C’est une langue riche, belle, sonore, rythmée. Une langue d’Amérique. Violente et truculente. »Didier Fessou, Le Soleil« (Michel Vézina) Un touche-à-tout incroyablement doué pour l’écriture. »Didier Fessou, Le Soleil« Sorti tout droit de la plume du chroniqueur littéraire de l’hebdomadaire culturel ICI, Asphalte et vodka, de Michel Vézina, s’avère un road novel qui tient… joliment la route. »André Magny, Le Droit« Un très beau premier roman, une belle écriture sur fond de Louisiane et de cuivres. »Sylvie Nicolas, CKIA 88,3 – Tiens! Tiens! Tiens !« Son premier roman, Asphalte et vodka (Québec Amérique), a été l'une des belles surprises de la rentrée 2005. (…) Asphalte et vodka est une fête du langage et des sens. »David Homel et Marie-Claude Fortin, Magazine Via Destinations