Le Ciel tombe à côté
février 2013
« La langue est ici d’une poésie écorchée, les gestes et les paroles des personnages surchargés de sens. Le rythme de la narration est saccadé, créant une tension et une émotion exacerbées, à l’image de la sensibilité agressive de la narratrice, en lutte avec ses « accroires » dans un univers de misère affective et de lourds secrets. Un roman d’une grande intensité où la parole, la poésie et la solidarité servent de planche de salut à des êtres nés du côté difficile. » Ginette Landreville, Lurelu« Le ciel tombe à côté est à la fois très beau et aussi très sombre. »Anne Michaud, Radio-Canada« L’histoire pourrait avoir lieu n’importe où. Ce qui compte, c’est la façon dont elle est racontée : des émotions vives et crues exprimées presque en poésie. Marie-Francine Hébert traduit les brisures, les éclats, les envies en phrases percutantes et émouvantes, en images fortes, et si essentielles. (…) Mais c’est surtout un formidable roman qui parle aussi d’espoir et qu’il faut lire pour la beauté. »Mélanie Quimper, Le Libraire« Grâce à son savant mélange d’ombre et de lumière et à l’écriture juste et sensible de son auteure, cette histoire plaira aux jeunes lecteurs aguerris comme à leurs parents. Un très grand petit roman. »Magazine Coup de Pouce« Dans une prose aux accents poétiques, elle nous présente des enfants aux prises avec un quotidien pas toujours bienveillant, voire même misérable. Ce roman invite à la réflexion et questionne des préjugés sociaux largement répandus et trop souvent banalisés. »Brigitte Moreau, Le Libraire« Voulant toucher les jeunes nés sur le versant abrupt de la vie, l’auteure dépeint dans ce roman, dans un style cru, rempli de non-dit et d’images surprenantes, un patelin isolé où s’étend sur les cordes à linge la misère du monde (…) » Nathalie Ferraris, IcI« Fidèle à elle-même, l’auteure nous livre ce récit dans un style à la fois joli, cru et poétique (…). C’est un style magnifique et lent, rempli de subtilités et de non-dits, d’images surprenantes à chaque détour de paragraphe. (…) une histoire et un style qui rappellent la misère décrite un peu par Michel Tremblay, beaucoup par Marie-Claire Blais. Percutant. »Nathalie Ferraris, Lurelu« C’est l’un des livres les plus savoureux que j’ai lus dernièrement. Son histoire est dure mais belle, son écriture est riche et poétique, ses personnages sont tout en émotion, et il m’a rappelé à quel point avoir une sœur peut être magique. » Magazine 7 Jours« Magnifiquement bien écrit. Une plume poétique, directe, qui va droit au cœur des émotions. » Chantal Reicheil, Divertir (Montérégie)