Le Pendu de Trempes
avril 2013
« Le Pendu de Trempes m’a troublé. (…) Ce qui retient notre attention au-delà des cent premières pages, malgré l’incertitude dans laquelle nous tient l’auteure, ce sont ses remarquables qualité d’écriture : son long phrasé, sa ponctuation haletante, son intrigue serrée, etc. »Jean-François Crépeau, Le Canada français« Une oeuvre ambitieuse, une prose inspirée, une émotion soutenue, une énigme qui se dévoile dans la spirale de l'hallucination. Un livre d'une étrange beauté, que signe Andrée A. Michaud. »André Ricard, Nuit Blanche« (…) il y a ce style unique dans le paysage littéraire québécois et qui n'appartient qu'à Andrée A. Michaud : un subtil appariement entre une intrigue touffue mais admirablement construite et une plume précise, raffinée, évocatrice qui campe avec une rare virtuosité une atmosphère lourde, tenace, insistance. »Armelle Datin, Nuit Blanche« Andrée A. Michaud nous propose dans Le Pendu de Trempes des énigmes bien ficelées, écrites avec un style simple mais poétique. Une réflexion sur la mémoire et le temps agrémente la trame de fond de ce roman qui non suelement nous tient en haleine du début à la fin, mais nous surprend aussi sans cesse. »Cynthia Quirion, Le Québécois« (…) quel plaisir de lecture ! Si Le Ravissement est venu confirmer le talent d'Andrée A. Michaud, n'hésitons pas à affirmer que Le Pendu de Trempes, dans toute sa violence et son aplomb, le consolide avec brio. »Julien Desrochers, Québec français« Un roman à chérir pour qui aime s'enivrer de mots et de délires, de la préciosité d'une plume remarquable et accomplie. Une histoire noire et touchante, sur une quête d'absolu et de pureté qui ne peut être que vaine. Un univers où la Beauté et la Mort se confondent. »Ariane Gélinas, Le Devoir« (…) Andrée A. Michaud nous invite à pénétrer progressivement dans un univers de mystère, de tourments et de lucidité, avec une sensibilité et une remarquable qualité d’écriture. »Carole Payer, Le Journal de Québec« Un roman qui nous fait vivre des moments d’angoisse touchant même à la folie. Un roman incisif et poétique qui vous emballera. »Michel Doucet, Radio-Canada - Le Réveil (Nouveau-Brunswick)« Belle écriture, atmosphère lourde et perturbée extrêmement bien décrite (…). »Pierre Blais, CRKL - Les matins distincts« Ce roman hybride emprunte quelques éléments au polar, au conte fantastique. Il parle de la folie d’un homme confronté aux mystères divins, de l’amour et de la mort, puis de la lumière enfuie de l’enfance, de cette vacillante lumière qu’à force de trop vouloir ranimer on finit par éteindre à jamais. Le roman est fascinant. L’expérience de lecture, absolument envoûtante. (...) la romancière nous donne une fois de plus une leçon littéraire avec Le Pendu de Trempes. Le plus impressionnant dans ce sixième roman, c’est sans doute l’écriture majestueuse et la puissance d’évocation des lieux et des atmosphères liées à l’ombre et à la lumière. »Suzanne Giguère, Le Devoir« Le Pendu de Trempes est un livre sur la mémoire, sur l’obligation de se souvenir et la nécessité de l’oubli. Un livre très fort sur les défiances de la nature humaine. La romancière nous livre dans ce roman voilé de brumes une analyse pénétrante de la folie qui guette tout être poussé dans ses derniers retranchements. (…) Ouvrir la première page de ce roman exigeant, bâti sur une intrigue singulière, ingénieuse et intelligente, des énigmes bien ficelées, une maîtrise totale des faits, un sens puissant du récit, c’est se condamner au plaisir d’aller jusqu’au bout. À lire impérativement dans les dernières couleurs des feuillages rougissants de l’automne. »Suzanne Giguère, Le Devoir« Roman magnifique, mêlant Dieu et Diable, foi et scepticisme, quête existentielle et questionnements philosophiques, roman dont l'énigme porte haut l'esprit et la voix d'une grande écrivaine. Quel bonheur de sortir d'une lecture et de constater qu'elle nous a rendu plus intelligent, quand le livre, qu'on achève à peine, habite même notre corps à cause du plaisir qu'il a su y créer, à cause de l'effervescence par laquelle notre esprit s'y est étourdi.»Hugues Corriveau, Lettres québécoises