Les Parfums d'Élisabeth
février 2013
«Gilles Tibo, d’un style simple, plein de poésie, développe dans son roman une mythologie de la mer, une symbolique de l’eau qui n’est pas sans rappeler l’univers d’Anne Hébert.»Pascale Navarro, Voir«À la manière d'Anne Hébert dans Les Fous de Bassan ou de Gabrielle Roy dans La Montagne secrète, l'auteur nous raconte la mer et l'oiseau, la rage et la peur, la joie et l'espérance dans les mots puissants, chargés d'images.»Nathalie Paquin, Le Point d'Outremont«Un livre plein de belles et grandes émotions.»Laurent Laplante, SRC Québec«L'espace et l'appel d'un souffle puissant, libre de contraintes, soulignent l'écriture de Gilles Tibo qui nous peint avec des mots un roman à fleur de peau.»Hélène Cantin, SRC Gaspésie«Une histoire qui remue, qui émeut, qui renverse…»Claire Lévesque, Escapades culturelles - 103,3 FM«Le désir de survie prend ici tout son sens.»Pierrette-Hélène Roy, La Tribune«Si on ne jure que par le réalisme pur et dur, ce roman n'est pas pour nous. Mais, si on cherche une histoire limpide et tout en nuances, celle-ci nous chavirera. (…) Un roman chaud comme une brise d'été.»Mélanie Thivierge, Coup de Pouce«Comme pour atténuer la rudesse, l'écriture se fait poétique, coulante et vibrante, d'une douceur exquise. Elle coule comme un long fleuve tranquille, contrastant avec la dureté de l'univers comme pour adoucir les angles, en lisser les arêtes pointues des rochers. Elle force l'évocation, provoque des images, des sons et des odeurs inoubliables. Le lecteur est fasciné, littéralement envoûté par le rythme berçant de la plume.»Louise Chevrier, La Terre de chez nous«Au risque d'être accusé du crime honteux d'élitisme, j'estime que toutes les lectures ne se valent pas. Lire ne suffit pas. Une bibliothèque doit donner la chance à la qualité et à la diversité. Il est intelligent d'acheter Les Parfums d'Élizabeth de Gilles Tibo plutôt qu'un dixième exemplaire de Harry Potter. Mieux choisies, les acquisitions risqueraient moins d'être répétitives, caduques, volumineuses à l'excès.»Laurent Laplante, Le Libraire