Mirror Lake
août 2019
« Roman où tout est miroir, où tout se miroite. Du grand art. Et de l'humour en plus. À lire. »René Bolduc, CKRL FM - Encrage (Québec)« Les premières pages de Mirror Lake, septième roman d'Andrée A. Michaud, nous mettent sur la piste d'un récit inquiétant, grave, introspectif. On est rapidement berné. Enfin, le mystère plane, mais sur un ton presque léger. Truffé de référence à la culture populaire aussi diverses que The Shining, les Daltons ou Tim Robbins dans The Player, ce roman marqué par le dédoublement dévoile le talent de son auteure pour le loufoque et le burlesque. Dans un style imagé, habile et précis, Andrée A. Michaud passe de l'anglais au français pour… »Sylvie St-Jacques, La Presse« (…) Tous les éléments de la signature de Michaud y sont rassemblés, seulement, ce ton différent permet d'ouvrir une autre porte à l'oeuvre polysémique. En fait, avec Mirror Lake, Andrée A. Michaud ne devrait pas décevoir son lectorat, mais bien l'élargir. »Stéphane Despatie, Voir Montréal« Dans un élan imaginatif vertigineux, l'auteure crée un roman hallucinatoire où un misanthrope déverse sans scrupule son fiel sur une humanité issue de la fable et du blockbuster américain. »Elsa Pépin, ICI« (…) l'auteure excelle dans l'art de la digression spontanée. Elle tisse une toile foisonnante de liens qui définit brillamment notre américanité. À l'imaginaire débridé se joint une langue délicieuse et sans licence. Le franc-parler du narrateur oscille entre la théorie du vraisemblabe selon Aristote et la symbolique des œufs! Un délire visuel, sonore et langagier hors norme. »Elsa Pépin, ICI« Ce qu'il y a de plus remarquable dans ce roman, outre la toujours exceptionnelle qualité d'écriture d'Andrée A. Michaud, c'est la cohérence totale de la psyché mâle de son personnage masculin.»François Couture, Entre les lignes, automne 2006« Chose certaine, Andrée A. Michaud y excelle à faire vaciller notre rapport à la réalité, tout comme dans son magistral Ravissement. (…) avec Mirror Lake, au-delà de l'humour, elle réussit encore à ébranler des choses qu'on croyait immuables en nous. »François Couture, Entre les lignes, automne 2006« Qualité remarquable de l'écriture, style léché. Mystère, étrangeté. Et envoûtement. Dès les premières pages de Mirror Lake, c'est frappant. On reconnaît la plume d'Andrée A. Michaud, Prix du gouverneur général 2001. Et on sait qu'elle nous emmènera ailleurs, dans une autre dimension. »Danielle Laurin, Le Devoir« On se surprend à superposer au texte des images de plus en plus loufoques, drolatiques, exagérées. Plus on avance, plus on s'étonne. Et plus on s'étonne, plus on rigole… »Danielle Laurin, Le Devoir« Il y a des livres qu'on ouvre à ses risques et périls. Des livres où l'on perd pied, où l'on glisse dans un monde insoupçonné. De l'autre côté du miroir. Mirror Lake est de ceux-là. Inutile de chercher à remonter à la surface. Plus on avance, plus on s'enfonce, comme dans un cauchemar. Un cauchemar éveillé. Et plus, on trouve ça drôle… »Danielle Laurin, Le Devoir