L’auteur tourne résolument le dos aux outrances des pessimistes à la mode. Selon lui, l’École, à tous les niveaux, doit s’attacher par priorité à une transmission efficace des savoirs, « théoriques » ou pratiques. Il étudie, en conséquence, les moyens de faire face : à l’impossibilité d’une culture de base absolument générale ; au sabotage de l’instruction par les psychopédagogues ; et à l’anachronique mixité des fonctions de certains chercheurs pseudo-enseignants à l’université. Un de ces moyens : remplacer les « cours », plus ou moins dictés, par l’étude guidée de documents écrits, imprimés ou « informatisés », créés par des enseignants qualifiés.