Luc GARNIER naît à Lille en février 1951. Il sera au centre d'une fratrie de trois garçons. Enfance heureuse. Éducation catholique. Son père meurt quand il a 14 ans et les trois garçons seront livrés à eux-mêmes malgré une mère présente mais quelque peu dépassée par l'intrépidité de ses fils. L'aîné ira vite travailler pour subvenir aux besoins familiaux. Luc GARNIER, quant à lui, entame des études courtes (Bac+2) pour libérer au plus tôt la structure familiale.

Sa première mission de technico-commercial dans une usine de ventilation industrielle l'invite à entreprendre des études d'ingénieur en aéraulique en cours du soir au CNAM (8 ans). Entre temps, après avoir été Responsable d'usine puis Directeur "Recherche et Développement" chez deux constructeurs de produits du Bâtiment, il crée, en 1981, son entreprise de produits du bâtiment en Kit pour la grande distribution du Bricolage. 18 ans plus tard, il cède son groupe industriel et crée un cabinet de conseils aux entreprises qui se diversifiera dans la formation en entreprises et universités ainsi que dans un site Internet marchand de produits du Bâtiment. En 2012, il cède chaque activité et prend sa retraite. Il a 62 ans.

Depuis son adolescence, Luc GARNIER s'intéresse à la philosophie sans jamais l'avoir étudiée. Ses études scientifiques ont un temps suppléé cet intérêt mais c'est la découverte des philosophes romains et en particulier les stoïciens qui lui révèle sa véritable nature et il n'a de cesse de lire ces auteurs et en particulier leurs aphorismes.

C'est inopinément qu'à la retraite, il se met à créer des aphorismes destinés à ses quatre fils pour les aider à se poser des questions sur la philosophie, la religion, la politique, etc. ... C'est tout naturellement qu'il édite en 2014 un premier recueil imprimé sous le titre Sentences tardives tome 1 puis, en 2016, un second recueil sous forme numérique avec le titre Sentences tardives 390 Aphorismes.

Il continue à créer de nouveaux aphorismes qui deviennent de plus en plus critiques vis-à-vis de la société. Il se savait goguenard. Aurait-il finalement de la graine d'anarchiste ?