Moi, Valériane, je n’ai peur de rien! Sauf… de marcher sur les lignes du trottoir. Je sais, c’est bizarre, même un peu idiot, mais c’est plus fort que moi. Heureusement, je me sens moins seule depuis que j’ai rencontré, à ma nouvelle école, le club des superstitieux, formé de Maëva, Alex et Piment. Voilà que notre club vient de déclarer la guerre aux superstitions. Chacun va donc devoir être supercourageux plutôt que superstitieux. Après tout, que pourrait-il nous arriver de si terrible?Prix et nominations :Sélection roman français du Prix littéraire Hackmatack - Le choix des jeunes 2022Finaliste au Prix de la création littéraire de la Ville de Québec - SILQ 2021Liste préliminaire aux Prix des librairies Jeunesse 2021On a parlé de nous :« Sous l'écriture toujours aussi dynamique et drôle d'Émilie Rivard, on plonge dans un roman qui donne le sourire à chaque page et dont l'inventivité est notable. »Les librairies, automne 2020« Ce qui m'a vraiment fait rire, ce sont les scénarios loufoques et catastrophiques qui habitent l'imagination des personnages lorsqu'ils sont sur le point de faire face à leurs superstitions. Cette lecture est parfaitement adaptée aux élèves du deuxième cycle primaire. »Livre à cœur, Sophie, septembre 2020Franchement comique avec ses descriptions abracadabrantes, ce roman sans prétention donne envie de surmonter nos bêtes appréhensions.La Presse +, Marie Allard, novembre 2020Les anecdotes sont autant rocambolesques les unes des autres. Quant aux images de Mika, elles vont dans le même sens avec un sandwich brachiosaure aux gros yeux et les regards affolés des personnages; tout pour vous faire rire. C'est toujours un moment délicieux, celui où nous lisons, en famille, un livre de ce magnifique duo, et, encore une fois, ce fut un régal.L'annonceur, Cynthia Jobin, novembre 2020Divisé en courts chapitres, écrits en gros caractères, ce roman offre des mises en page attirantes. Le ton léger et l'humour est au rendez-vous. Le lecteur est amené à renverser ses idées reçues et à s'ouvrir à d'autres horizons.Lurelu, Mario Gingras-Gagné, hiver 2021